Comme une odeur de Caribou
« À l’entrée, des bancs d’églises nous permettent de profiter du spectacle. Une fille du roi vient prendre la commande (…) C’est dans une ambiance qui nous fait revivre l’époque des colonies françaises que se déroulent les dimanches du conte. »
Catherine Gaulin, Quartier Libre, 27 octobre 2010
posté le 27 octobre 2010 à 11:35 par Jean-Francois Yelle (pas de commentaire)