La chaleur des mots
«En banalisant la parole, la télévision l’a tuée. À lui seul, le livre ne peut restituer la chaleur physique des mots. Voilà ce que pensent un nombre surprenant de gens,
très souvent à l’insu des médias et de l’arrière-garde littéraire. Chaque dimanche soir, jusqu’à 200 personnes se rendent au bar montréalais Le Sergent recruteur pour y écouter des contes et de la poésie»
Michel Lapierre, Ici (Montréal), 17 février 2005
posté le 17 février 2005 à 12:20 par Jean-Francois Yelle (pas de commentaire)