La chaleur des mots

«En banalisant la parole, la télévision l’a tuée. À lui seul, le livre ne peut restituer la chaleur physique des mots. Voilà ce que pensent un nombre surprenant de gens,
très souvent à l’insu des médias et de l’arrière-garde littéraire. Chaque dimanche soir, jusqu’à 200 personnes se rendent au bar montréalais Le Sergent recruteur pour y écouter des contes et de la poésie»

Michel Lapierre, Ici (Montréal), 17 février 2005