Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un jeune conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des six dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh et Les Ceuzes-Là, nous récidivons cette année en faisant de Dominique Breau notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, l’un à la suite de l’autre, « J’vous ai t’y conté ? », et son tout nouveau spectacle. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
Un Dominique Breau ensauvagé et en totale liberté pour finir la saison en folie. On ne sait pas ce qui va se passer, mais on sait que ça va passer ou que ça va casser.
Dominique Breau
La belle parlure de son coin d’Acadie lui passe par la grande oreille du cœur. Conteux fin finaud, chanteux savoureux, Dominique Breau ravive la souvenance de ces gens de chez lui à grands coups de tendresse taquine et de vivante parole.
Bien connu au Village historique acadien, puis au Pays de la Sagouine, il a fait un grand bout de chemin à la tête du groupe J’m’en rappelle, en présentant plus de deux cents spectacles, dont une soixantaine au Québec. On a pu entendre Dominique dans plusieurs festivals et événements en Acadie, au Québec et en France. En mars 2008, il a été finaliste au dernier Grand Prix des conteurs de Chevilly-Larue. Et tout au long de l’été suivant, sa série de Mardis du conte a remporté un phénoménal succès, puisque plus de deux mille personnes au total sont venues sous le chapiteau de Tracadie-Sheila pour écouter, rire et applaudir les histoires de Dominique.
Son spectacle J’vous ai t’y conté ? a été créé à l’automne 2007 et présenté au Petit Medley, au Studio-théâtre de la Place des Arts de Montréal et à l’Empress du théâtre du Capitol, à Moncton.
Profondément inspiré par l’Acadie, ses traditions et ses gens, Dominique choisit de demeurer fidèle à la manière des conteux d’autrefois, dans la simplicité et la proximité qu’il entretient avec son auditoire. Ceux qui ont entendu Dominique raconter ses histoires en sont sortis le cœur réchauffé et avec un solide sourire bien accroché aux lèvres. Amoureux des mots, poète à sa manière, ce fripon a plus d’un tour dans sa besace pour déclencher de grandes vagues de rire et toucher les cœurs : impossible d’y résister…
« Dans ce genre de spectacle, un bon animateur porte parfois la soirée sur ses épaules – et Dominique Breau a les épaules solides. Il a le rythme, la verve, l’humour, le charisme et la bonne bouille, et il chante avec aplomb – le tout enrobé d’un vigoureux accent péninsulaire, ce qui ne gâche rien. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Fred Pellerin, dont il a d’ailleurs interprété un conte avec brio. »
Nicolas Dickner, Voir, 11 octobre 2007.
« Il a la bouche en cœur, de petits yeux rieurs et complices, un accent acadien plus grand que nature et il raconte des histoires de village perdu et de traditions oubliées. […] le spectacle est simple et bon, aussi efficace qu’un remède de grand-mère. »
Philippe Couture, Voir, mai 2009.
« Dominique Breau est Acadien et heureux de l’être avec sa verve particulière et des expressions qui surprennent. Une langue formidable, riche, étonnante et juteuse comme un grand verre de petit remontant. »
Yvon Paré, Le Quotidien, 10 novembre 2005.
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un jeune conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des six dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh et Les Ceuzes-Là, nous récidivons cette année en faisant de Dominique Breau notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, l’un à la suite de l’autre, « J’vous ai t’y conté ? », et son tout nouveau spectacle. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
Dominique Breau
La belle parlure de son coin d’Acadie lui passe par la grande oreille du cœur. Conteux fin finaud, chanteux savoureux, Dominique Breau ravive la souvenance de ces gens de chez lui à grands coups de tendresse taquine et de vivante parole.
Bien connu au Village historique acadien, puis au Pays de la Sagouine, il a fait un grand bout de chemin à la tête du groupe J’m’en rappelle, en présentant plus de deux cents spectacles, dont une soixantaine au Québec. On a pu entendre Dominique dans plusieurs festivals et événements en Acadie, au Québec et en France. En mars 2008, il a été finaliste au dernier Grand Prix des conteurs de Chevilly-Larue. Et tout au long de l’été suivant, sa série de Mardis du conte a remporté un phénoménal succès, puisque plus de deux mille personnes au total sont venues sous le chapiteau de Tracadie-Sheila pour écouter, rire et applaudir les histoires de Dominique.
Son spectacle J’vous ai t’y conté ? a été créé à l’automne 2007 et présenté au Petit Medley, au Studio-théâtre de la Place des Arts de Montréal et à l’Empress du théâtre du Capitol, à Moncton.
Profondément inspiré par l’Acadie, ses traditions et ses gens, Dominique choisit de demeurer fidèle à la manière des conteux d’autrefois, dans la simplicité et la proximité qu’il entretient avec son auditoire. Ceux qui ont entendu Dominique raconter ses histoires en sont sortis le cœur réchauffé et avec un solide sourire bien accroché aux lèvres. Amoureux des mots, poète à sa manière, ce fripon a plus d’un tour dans sa besace pour déclencher de grandes vagues de rire et toucher les cœurs : impossible d’y résister…
« Dans ce genre de spectacle, un bon animateur porte parfois la soirée sur ses épaules – et Dominique Breau a les épaules solides. Il a le rythme, la verve, l’humour, le charisme et la bonne bouille, et il chante avec aplomb – le tout enrobé d’un vigoureux accent péninsulaire, ce qui ne gâche rien. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Fred Pellerin, dont il a d’ailleurs interprété un conte avec brio. »
Nicolas Dickner, Voir, 11 octobre 2007.
« Il a la bouche en cœur, de petits yeux rieurs et complices, un accent acadien plus grand que nature et il raconte des histoires de village perdu et de traditions oubliées. […] le spectacle est simple et bon, aussi efficace qu’un remède de grand-mère. »
Philippe Couture, Voir, mai 2009.
« Dominique Breau est Acadien et heureux de l’être avec sa verve particulière et des expressions qui surprennent. Une langue formidable, riche, étonnante et juteuse comme un grand verre de petit remontant. »
Yvon Paré, Le Quotidien, 10 novembre 2005.
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un jeune conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des six dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh et Les Ceuzes-Là, nous récidivons cette année en faisant de Dominique Breau notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, l’un à la suite de l’autre, « J’vous ai t’y conté ? », et son tout nouveau spectacle. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
Dominique Breau
La belle parlure de son coin d’Acadie lui passe par la grande oreille du cœur. Conteux fin finaud, chanteux savoureux, Dominique Breau ravive la souvenance de ces gens de chez lui à grands coups de tendresse taquine et de vivante parole.
Bien connu au Village historique acadien, puis au Pays de la Sagouine, il a fait un grand bout de chemin à la tête du groupe J’m’en rappelle, en présentant plus de deux cents spectacles, dont une soixantaine au Québec. On a pu entendre Dominique dans plusieurs festivals et événements en Acadie, au Québec et en France. En mars 2008, il a été finaliste au dernier Grand Prix des conteurs de Chevilly-Larue. Et tout au long de l’été suivant, sa série de Mardis du conte a remporté un phénoménal succès, puisque plus de deux mille personnes au total sont venues sous le chapiteau de Tracadie-Sheila pour écouter, rire et applaudir les histoires de Dominique.
Son spectacle J’vous ai t’y conté ? a été créé à l’automne 2007 et présenté au Petit Medley, au Studio-théâtre de la Place des Arts de Montréal et à l’Empress du théâtre du Capitol, à Moncton.
Profondément inspiré par l’Acadie, ses traditions et ses gens, Dominique choisit de demeurer fidèle à la manière des conteux d’autrefois, dans la simplicité et la proximité qu’il entretient avec son auditoire. Ceux qui ont entendu Dominique raconter ses histoires en sont sortis le cœur réchauffé et avec un solide sourire bien accroché aux lèvres. Amoureux des mots, poète à sa manière, ce fripon a plus d’un tour dans sa besace pour déclencher de grandes vagues de rire et toucher les cœurs : impossible d’y résister…
« Dans ce genre de spectacle, un bon animateur porte parfois la soirée sur ses épaules – et Dominique Breau a les épaules solides. Il a le rythme, la verve, l’humour, le charisme et la bonne bouille, et il chante avec aplomb – le tout enrobé d’un vigoureux accent péninsulaire, ce qui ne gâche rien. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Fred Pellerin, dont il a d’ailleurs interprété un conte avec brio. »
Nicolas Dickner, Voir, 11 octobre 2007.
« Il a la bouche en cœur, de petits yeux rieurs et complices, un accent acadien plus grand que nature et il raconte des histoires de village perdu et de traditions oubliées. […] le spectacle est simple et bon, aussi efficace qu’un remède de grand-mère. »
Philippe Couture, Voir, mai 2009.
« Dominique Breau est Acadien et heureux de l’être avec sa verve particulière et des expressions qui surprennent. Une langue formidable, riche, étonnante et juteuse comme un grand verre de petit remontant. »
Yvon Paré, Le Quotidien, 10 novembre 2005.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des six dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh et Les Ceuzes-Là, nous récidivons cette année en faisant de Dominique Breau notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, l’un à la suite de l’autre, « J’vous ai t’y conté ? », et son tout nouveau spectacle. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
J’vous ai t’y conté ? C’est un rendez-vous vivifiant, entre deux chaises de cuisine, avec les personnages les plus colorés de l’Acadie. Dominique Breau, le savoureux conteux acadien, vous emmène à la rencontre des gens de chez lui par sa parlure typique, ses contes tendres et drôles et ses pétillantes chansons traditionnelles. Dominique propose une parole taquine et vraie qui ravive toute la grande mémoire du petit monde d’Acadie.
Tirez-vous une bûche, faites comme chez vous ! On remonte au temps où les veillées ne voulaient plus finir, à cette époque des grandes familles où le « mon’oncle » pouvait raconter des histoires et chanter des chansons toute la nuit durant… Et que ça chante ! Et que ça tape du pied ! Et que ça conte !
Aujourd’hui, on est tous cousins et cousines, nous voici dans la cuisine pour retrouver la recette des plus mémorables veillées d’autrefois.
Dominique Breau
La belle parlure de son coin d’Acadie lui passe par la grande oreille du cœur. Conteux fin finaud, chanteux savoureux, Dominique Breau ravive la souvenance de ces gens de chez lui à grands coups de tendresse taquine et de vivante parole.
Bien connu au Village historique acadien, puis au Pays de la Sagouine, il a fait un grand bout de chemin à la tête du groupe J’m’en rappelle, en présentant plus de deux cents spectacles, dont une soixantaine au Québec. On a pu entendre Dominique dans plusieurs festivals et événements en Acadie, au Québec et en France. En mars 2008, il a été finaliste au dernier Grand Prix des conteurs de Chevilly-Larue. Et tout au long de l’été suivant, sa série de Mardis du conte a remporté un phénoménal succès, puisque plus de deux mille personnes au total sont venues sous le chapiteau de Tracadie-Sheila pour écouter, rire et applaudir les histoires de Dominique.
Son spectacle J’vous ai t’y conté ? a été créé à l’automne 2007 et présenté au Petit Medley, au Studio-théâtre de la Place des Arts de Montréal et à l’Empress du théâtre du Capitol, à Moncton.
Profondément inspiré par l’Acadie, ses traditions et ses gens, Dominique choisit de demeurer fidèle à la manière des conteux d’autrefois, dans la simplicité et la proximité qu’il entretient avec son auditoire. Ceux qui ont entendu Dominique raconter ses histoires en sont sortis le cœur réchauffé et avec un solide sourire bien accroché aux lèvres. Amoureux des mots, poète à sa manière, ce fripon a plus d’un tour dans sa besace pour déclencher de grandes vagues de rire et toucher les cœurs : impossible d’y résister…
« Dans ce genre de spectacle, un bon animateur porte parfois la soirée sur ses épaules – et Dominique Breau a les épaules solides. Il a le rythme, la verve, l’humour, le charisme et la bonne bouille, et il chante avec aplomb – le tout enrobé d’un vigoureux accent péninsulaire, ce qui ne gâche rien. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Fred Pellerin, dont il a d’ailleurs interprété un conte avec brio. »
Nicolas Dickner, Voir, 11 octobre 2007.
« Il a la bouche en cœur, de petits yeux rieurs et complices, un accent acadien plus grand que nature et il raconte des histoires de village perdu et de traditions oubliées. […] le spectacle est simple et bon, aussi efficace qu’un remède de grand-mère. »
Philippe Couture, Voir, mai 2009.
« Dominique Breau est Acadien et heureux de l’être avec sa verve particulière et des expressions qui surprennent. Une langue formidable, riche, étonnante et juteuse comme un grand verre de petit remontant. »
Yvon Paré, Le Quotidien, 10 novembre 2005.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des six dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh et Les Ceuzes-Là, nous récidivons cette année en faisant de Dominique Breau notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, l’un à la suite de l’autre, « J’vous ai t’y conté ? », et son tout nouveau spectacle. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
J’vous ai t’y conté ? C’est un rendez-vous vivifiant, entre deux chaises de cuisine, avec les personnages les plus colorés de l’Acadie. Dominique Breau, le savoureux conteux acadien, vous emmène à la rencontre des gens de chez lui par sa parlure typique, ses contes tendres et drôles et ses pétillantes chansons traditionnelles. Dominique propose une parole taquine et vraie qui ravive toute la grande mémoire du petit monde d’Acadie.
Tirez-vous une bûche, faites comme chez vous ! On remonte au temps où les veillées ne voulaient plus finir, à cette époque des grandes familles où le « mon’oncle » pouvait raconter des histoires et chanter des chansons toute la nuit durant… Et que ça chante ! Et que ça tape du pied ! Et que ça conte !
Aujourd’hui, on est tous cousins et cousines, nous voici dans la cuisine pour retrouver la recette des plus mémorables veillées d’autrefois.
Dominique Breau
La belle parlure de son coin d’Acadie lui passe par la grande oreille du cœur. Conteux fin finaud, chanteux savoureux, Dominique Breau ravive la souvenance de ces gens de chez lui à grands coups de tendresse taquine et de vivante parole.
Bien connu au Village historique acadien, puis au Pays de la Sagouine, il a fait un grand bout de chemin à la tête du groupe J’m’en rappelle, en présentant plus de deux cents spectacles, dont une soixantaine au Québec. On a pu entendre Dominique dans plusieurs festivals et événements en Acadie, au Québec et en France. En mars 2008, il a été finaliste au dernier Grand Prix des conteurs de Chevilly-Larue. Et tout au long de l’été suivant, sa série de Mardis du conte a remporté un phénoménal succès, puisque plus de deux mille personnes au total sont venues sous le chapiteau de Tracadie-Sheila pour écouter, rire et applaudir les histoires de Dominique.
Son spectacle J’vous ai t’y conté ? a été créé à l’automne 2007 et présenté au Petit Medley, au Studio-théâtre de la Place des Arts de Montréal et à l’Empress du théâtre du Capitol, à Moncton.
Profondément inspiré par l’Acadie, ses traditions et ses gens, Dominique choisit de demeurer fidèle à la manière des conteux d’autrefois, dans la simplicité et la proximité qu’il entretient avec son auditoire. Ceux qui ont entendu Dominique raconter ses histoires en sont sortis le cœur réchauffé et avec un solide sourire bien accroché aux lèvres. Amoureux des mots, poète à sa manière, ce fripon a plus d’un tour dans sa besace pour déclencher de grandes vagues de rire et toucher les cœurs : impossible d’y résister…
« Dans ce genre de spectacle, un bon animateur porte parfois la soirée sur ses épaules – et Dominique Breau a les épaules solides. Il a le rythme, la verve, l’humour, le charisme et la bonne bouille, et il chante avec aplomb – le tout enrobé d’un vigoureux accent péninsulaire, ce qui ne gâche rien. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Fred Pellerin, dont il a d’ailleurs interprété un conte avec brio. »
Nicolas Dickner, Voir, 11 octobre 2007.
« Il a la bouche en cœur, de petits yeux rieurs et complices, un accent acadien plus grand que nature et il raconte des histoires de village perdu et de traditions oubliées. […] le spectacle est simple et bon, aussi efficace qu’un remède de grand-mère. »
Philippe Couture, Voir, mai 2009.
« Dominique Breau est Acadien et heureux de l’être avec sa verve particulière et des expressions qui surprennent. Une langue formidable, riche, étonnante et juteuse comme un grand verre de petit remontant. »
Yvon Paré, Le Quotidien, 10 novembre 2005.
Avec ces duos, le Diable Vert veut donner la chance à des conteurs de la relève, qui ont déjà fait leur preuve à l’occasion d’une soirée «Nouveaux visages du conte au Québec», de se «faire les dents» en duo au Sergent avant éventuellement de présenter un spectacle solo dans le cadre des Dimanches du conte.
« Bienvenue à Telkel! »
Sous les confettis, au milieu des drapeaux et sur fond de musique swing, M. le Maire est fier d’accueillir son premier nouvel arrivant : Hervé, trompettiste migrant frappé par la chance. Celle d’avoir été tiré au sort pour ce merveilleux voyage dans la ville de Telkel. Un travail, une maison et des voisins aux sourires inébranlables: voilà la nouvelle vie d’Hervé.
Tout près de là, une petite fille se raconte une histoire pour fuir le réel. Mais les quatre murs de sa chambre ne sont pas d’impénétrables remparts contre le bruit des bombes et l’odeur de vinaigre.
Quand la réalité se décale de cinq degrés… de qui est-ce alors l’histoire? Cette histoire de frontières entre réalité et fiction…
Pour accompagner Céline Jantet et Nicolas Rochette dans cette Mystérieuse Migration une myriade d’invités : Anik April, Raynald Barbarie, Nadyne Bédard, Daniel Boiteau, Paul Bradley, Élisabeth Desjardins, Andrée Dufort, Marie-Pier Fournier, Vincent Grenier, Isabelle Larouche, Sarah-Maria Leblanc, André Morin, Sylvain Racine, Catherine Viens, Patti Warnock
Revendiquant le conte comme un art actuel, Céline défend un retour à l’oralité face à une société hypra-visuelle.
En 2013, elle a co-fondé La Quadrature qui s’interroge sur la place du récit dans la société industrielle.
Céline œuvre en solo ou en collectif pour faire entendre une parole contemporaine à contre-courant, là où on ne l’attendrait pas.
Un jour, des morceaux de bois se sont rassemblés sur la grève, près de la demeure d’un peintre-sculpteur éclectique, de la Péninsule acadienne, afin de l’attirer dans un piège à création dans lequel il s’est engouffré sans penser aux conséquences de son geste.
Le conteur qui déambulait dans le labyrinthe de la vie est soudainement arrivé face à face avec un masque fait de bois de grève. Il a été envoûté par la puissance évocatrice du bois transformé en visage. Le masque a communiqué avec le conteur pour lui souffler à l’oreille que Le souffle de la vie :
C’est l’arbre géant de la forêt
Qui raconte l’histoire de la terre
Qui raconte l’histoire de l’humanité
Qui demande à la cupidité humaine
De ne pas éteindre le souffle de la vie.
Florian Levesque roule sa bosse comme conteur depuis près de dix années. Surtout connu pour son personnage de Monsieur Flo, un conteur pour les enfants, il a présenté des spectacles de contes pour les jeunes et le grand public en France, en Suisse, en Belgique, aux États-Unis et dans la plupart des provinces canadiennes. Florian Levesque prépare en ce moment le lancement du spectacle qui s’intitule Le souffle de la vie. Dans sa région natale, la Baie-des-Chaleurs, en Acadie, Florian Levesque est aussi connu pour son activisme politique en matière de protection de l’environnement. Il est l’un des principaux artisans de la lutte contre l’incinérateur de déchets toxiques que proposaient la compagnie Bennett Environmental et le gouvernement du Nouveau-Brunswick à la communauté de Belledune, au Nouveau-Brunswick.
« Rencontrer quelqu’un d’aussi animé que Florian Levesque, c’est aussi rare qu’un billet de 1 000 piastres dans vos poches ! Imaginez avoir devant vous, en grande forme, un Robin Williams, ce célèbre comique américain, réputé pour ses volées oratoires lors d’entrevues. Florian Levesque est un peu comme ça. »
Robert Lagacé, L’Acadie Nouvelle, 15 avril 1998.
« Il a transporté son public dans un monde imaginaire en réussissant le tour de force de faire de chaque spectateur un complice. »
Ouest-France, Nantes (Bretagne, France), 14 et 15 octobre 2000.
Femme étrange, farouche, femelle indomptable, figure de pouvoirs, de mystère : la femme-louve s’accorde aux reliefs de la terre, au gré des saisons et aux caprices du temps. Là où elle passe, elle recrée terre de jeu faisant de chaque lieu un endroit primitif, exposé aux intempéries… À pas de louve, la conteuse retrace l’histoire de cette intrigante créature.
Transporté au cœur de la forêt, au clair de la lune, l’auditoire audacieux participe à la célébration du féminin sauvage en se laissant emporter par ce tendre conte rituel.
Ce spectacle a été créé à l’issu d’une résidence artistique au Nouveau-Brunswick, en 2008, grâce à une subvention du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ).
Conteuse bohême, inspirée par le féminin sauvage et le paysage, grand-mère aux yeux de petite fille, elle explore, depuis une vingtaine d’années, le pouvoir envoûtant du conte pour emporter l’auditoire dans une expérience étrange et ensorcelante.
« Isabelle Crépeau raconte, murmure, chante presque, une heure d’histoires onctueuses. Cajolés, bercés, les cerveaux réchauffés goûtent aux finales enchantées. […] ce fut une superbe rencontre. »
Denis Chiasson, Le Chic Québécœur, 22 décembre 2008.
« Tout au long de la soirée, les sons, les chants ajoutés à ces contes ont transporté les spectateurs. […] Isabelle Crépeau propose des regards, des mimiques, des intonations qui font que chaque conte est intéressant tant à écouter qu’à regarder. »
Josiane Haspeck, La Concorde, 22 mars 2006.
André Vigneau est né à Bassin, aux Îles-de-la-Madeleine, en 1949. Aide-pêcheur de métier, il est reconnu aux Îles pour son amour du patrimoine vivant. Artiste et artisan aux multiples talents, il sculpte le bois, le sable et la neige, en plus de gratter la guitare et le violon. Les Madelinots ont pu le voir évoluer dans la Troupe de théâtre Les Gaspareaux, en plus d’apprécier ses talents de chanteur dans diverses chorales et spectacles de chants marins. Fièrement ancré à ses racines insulaires, il raconte d’abord par passion pour sa culture et pour que perdure notre tradition de «raconteux».
C’est en 2002, à l’invitation de Sylvain Rivière, directeur artistique du Festival Contes en Îles aux Îles-de-la-Madeleine, qu’il entame plus sérieusement sa pratique professionnelle en tant que conteur. Suite à la première édition de l’événement, où il contera aux côtés des Bérubé, Pellerin, Laberge, Lamontagne, Aubin et Gadoury, il obtient la bourse Émergence, offerte conjointement par la Corporation Culturelle Arrimage et le député provincial des Îles, M. Maxime Arseneau. Cette bourse lui permettra de participer à divers stages de formation en interprétation du conte à Dinan (France) et à Montréal (Québec).
Depuis, André Vigneau a conté sur de nombreuses scènes – tant sur ses Îles natales qu’ailleurs au Québec ou en France – participant à plusieurs festivals de renommée internationale et formations autour du conte.
Belle histoire que celle de Farmer, le cheval, qui, après avoir traversé une baie glacée entre deux îles, un jour d’hiver et de grand froid à vous souder les flots, est vendu par son propriétaire, pour solde de jeu de cartes, et qui, au printemps, traverse le détroit et retrouve les siens.
Sans doute, dans nos temps agités, de zapping effréné, oublie-t-on les bienfaits du récit, ciment de rencontres chaleureuses. Il suffisait, ce soir-là, d’aller à la rencontre.
Henri Lafitte, Chroniques insulaires, 5 octobre 2008
Sans pitié, elles ont abordé l’amour et l’ennemi à bout portant !
Armées d’audace et d’insolence, elles ont défié les lois, à la vie, à la mort !
Anne Bonny et Mary Read sont de ces femmes pirates qui ont réellement vécu, mais dont on ne connaît que la légende. Ces intrépides femelles défient encore aujourd’hui les lois du genre ! Elles ont su se faire respecter dans un milieu d’hommes des plus cruels, ont suivi leurs pulsions sans retenue et ont maintenu leur liberté à bout de bras… d’honneur !… Bienvenue à bord !
Un récit d’aventures, empreint de sensualité, porté par une parole tantôt crue, tantôt lyrique, libre d’emprunter diverses formes narratives : le mythe, le conte, le récit de vie, la poésie. La révolte est au cœur du récit, mais on y aborde aussi la mort, la liberté et le désir. Autrement dit : ça fesse, ça gueule, ça mouille !
Nadine foule les planches depuis plus de 30 ans. Interprète reconnue pour sa forte présence, chercheuse acharnée, elle use de son corps autant que de sa voix pour propulser ses créations et retransmettre des histoires archaïques, reflets de l’humanité depuis la nuit des temps. « Avec elle, le conte devient une parole incarnée. » Élisabeth Haas, journal La Liberté, Fribourg, Suisse. Récipiendaire du Grand prix de l’Académie Charles Cros à Paris pour son CD-livre Sacré chœur de Gilgamesh en 2020, Hibou d’or pour le même spectacle et le prix Jocelyn Bérubé pour l’ensemble de sa carrière de conteuse.
Crédit photo : Marie Andrée Lemire
Ce que les médias en ont dit :
Crise de foi(e), la parole tranchante de Nadine Walsh
« Tout simplement génial !! J’adore !! je suis venu la réentendre sur le site de Radio-Canada. Des propos malheureusement criants de vérité. »
Berny Bérubé, commentaire sur le site de Vous êtes ici, à Radio-Canada,
Montréal, 17 mars 2009.
Soirée de contes et légendes
« Étrange, différent, surprenant, voilà les mots qui me viennent à la bouche pour décrire cette expérience. Mme Walsh a su captiver l’attention de son public […] cette conteuse qui, je dois le dire, n’a pas froid aux yeux ! Il fallait la voir s’exprimer avec des gestes éloquents pour donner vie à ses personnages. Elle a chanté, gémi, hululé, tapé du pied en cadence, fait participer le public. »
Isabelle Lauzon, sur le site : la Plume Volage, 10 mai 2009.
Festival Les arts du récit 2007
« Merci encore pour ton magnifique spectacle à Seyssinet ! Mes amies étaient ravies également ! Quelle énergie tu as ! Une de mes amies t’avait entendue samedi soir dernier, avait “flashé” et ne voulait pas te manquer en one-woman-show !
Françoise Villeneuve, Villar de Lans, 2007.
Vassivière 2006
« À Bruxelles et à Vassivière, j’ai été très impressionnée par la manière dont tu racontes. Waouw ! Merci, j’ai adoré, ta force féminine me fait encore beaucoup de bien. »
Vanessa Lefebvre, Bruxelles, 2006.
Chers artistes et artisans de l’oralité
« […] de l’assise féminine et de la générosité simple, investie, poétique de Nadine Walsh. »
Amandine et Céline, Conteuses fleurettes, 2007.