Par la traditionnelle criée des gens de métiers, il offre ses services : barbier, apothicaire, magnétiseur, marionnettiste et chansonnier, tout cela et plus encore ! Car Timoléon cache dans son havresac ses masques qui évoquent un pirate sanguinaire ou un avare grincheux ! En saison hivernale, il devient vendeur de verdures et de couronnes.
« En fin de conte » , Tranchebois nous parle de façon savoureuse des traditions et des légendes de la Nouvelle-France du XVIIIe siècle et du Bas-Canada du XIXe siècle !
Sylvain Bissonnette alias François-Timoléon Coquineau dit Tranchebois
Natif de Montréal, il débute comme metteur en scène de théâtre et s'intéresse tôt à l'opéra. D'abord choriste-comédien à l'Opéra-Comique du Québec, il étudia le chant pour être ensuite stagiaire à la mise-en-scène à l' Opéra de Lyon en 1993 et à la Canadian Opera Company de Toronto en 2000.
En 1993-95, il s'est perfectionné en gestuelle rhétorique au Centre de Musique baroque de Versailles, auprès de Philippe Lénaël et Marshall Pynkoski.
À titre de metteur en scène, il compte à son actif : Cosi fan tutte de Mozart, La Bohème de Puccini, La voix humaine de Poulenc, Giulio Cesare et Alcina de Handel, Dido and Aeneas de Purcell, Actéon de Charpentier, La Chauve-Souris de Strauss, Paganini de Léhar, Barbe-Bleue d'Offenbach, Le petit homme de Michel Fugain, Aucassin et Nicolette (anonyme XIIIe s.), L'Isle enchantée (d'après Handel), Duos d'opérette et autres délices (Productions Rigoletto), Les aventures du Chevalier de Beauchesne, Un homme et son métier, Contes et Chants du temps des fêtes et La Tour de Babel (créations), et plusieurs récitals de musique et poésie dont Le centenaire de l'École Littéraire pour le Musée du Château Ramezay.
Il est co-fondateur et directeur artistique, avec le compositeur Marc Ouellette, de La Compagnie lyrique Éclats de Voix, vouée à toutes les formes du théâtre lyrique.
En 2004, la production médiévale Aucassin et Nicolette se méritait le Prix OPUS dans la catégorie “Concert jeunesse“
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des sept dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau et Eric Michaud nous récidivons cette année en faisant d’Éric Gauthier notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, son tout nouveau spectacle, «L’année du grand frette». Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
Un frère, une soeur. Un ours. Une drôle de petite ville perdue parmi les épinettes noires: les vivants la désertent petit à petit, les morts y prennent parfois plus que leur place. Voilà que le grand Frette vient s’y installer, dans une petite maison blanche que personne n’a vu construire… Au casse-croûte, on en jase, et Georgette vient de poser sur le comptoir un café fumant qui n’attend que vous.
Eric Gauthier
tiré du communiqué annonçant la remise du Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois, 2003
Anne Dupuis, Spirale #192
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des sept dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau et Eric Michaud nous récidivons cette année en faisant d’Éric Gauthier notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, son tout nouveau spectacle, «L’année du grand frette». Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
Voyagez et la planète ne cessera de vous surprendre. L’inquiétante omniprésence des pigeons, la vie familiale des dieux hindous, la chasse à travers les brouillards acadiens… l’insolite vous attend partout. Pour vous préparer, Éric Gauthier reprend certains de ses classiques et vous emmène vers d’autres terres encore. Séjours imaginaires et récits de voyages réels se confondent pour vous dépayser d’agréable manière.
Eric Gauthier
tiré du communiqué annonçant la remise du Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois, 2003
Anne Dupuis, Spirale #192
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des sept dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau et Eric Michaud nous récidivons cette année en faisant d’Éric Gauthier notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, son tout nouveau spectacle, «L’année du grand frette». Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
Ça commence par un coup de fil, un coup de tête, un coup de lune… il n’en faut pas plus pour se retrouver sur la face cachée de l’existence. Pendant qu’un douanier quitte son poste pour vivre sans attaches, un programmeur s’attelle à son travail pour se payer un mariage qu’il redoute; l’un change de vie et l’autre change le monde. Un pauvre type voit sa vie gouvernée par son téléphone. Une pieuvre et une fourmi plus grandes que nature se penchent sur le sort des humains. Leurs histoires passent par le rire, la misère, l’amour, la folie — passagère ou non. Éric Gauthier, conteur de l’insolite, vous invite à découvrir ces gens qui entrent dans la légende en prenant pour phare le feu blanc de la lune.
Eric Gauthier
tiré du communiqué annonçant la remise du Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois, 2003
Anne Dupuis, Spirale #192
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des sept dernières saisons par nos « conteurs du mois » : Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau et Eric Michaud nous récidivons cette année en faisant d’Éric Gauthier notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, son tout nouveau spectacle, «L’année du grand frette». Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps !
Un frère, une soeur. Un ours. Une drôle de petite ville perdue parmi les épinettes noires: les vivants la désertent petit à petit, les morts y prennent parfois plus que leur place. Voilà que le grand Frette vient s’y installer, dans une petite maison blanche que personne n’a vu construire… Au casse-croûte, on en jase, et Georgette vient de poser sur le comptoir un café fumant qui n’attend que vous.
Eric Gauthier
tiré du communiqué annonçant la remise du Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois, 2003
Anne Dupuis, Spirale #192
André Lemelin
Originaire de l’Abitibi, André Lemelin raconte depuis le milieu des années 1990 : il brode ses histoires sur des canevas en relation avec l’auditoire, improvise au besoin et il choisit ses contes selon les gens présents et l’environnement dans lequel il évolue.
Site personnelClaudette L’Heureux
Claudette L’Heureux s’est recyclée dans la menterie et ce malgré le fait qu’étant enfant elle avait été Jeannette ... or la Jeannette dit toujours vrai. On sait que mentir est un art et non la réponse à une commande. Une fois, un vieux conteur des bayous lui avait dit : "Si c’est beau, ça n’a pas
besoin d’être vrai". Elle va vous en conter des belles.
Denis Gadoury
Né à Saint-Thomas-de-Joliette, Denis Gadoury raconte depuis plus de vingt ans. Il a parcouru le Québec, les Territoires-du-Nord-Ouest et le Manitoba, a rencontré des personnages drôles et touchants, et recueilli des anecdotes et des faits pour le moins cocasses. Revenu au Québec, il a continué à partager ses récits et sa façon traditionnelle de faire vivre l’histoire. On retrouve quelques-uns de ses meilleurs contes dans le recueil Le bonhomme La Misère, publié chez Planète rebelle.
François Lavallée
Lucie Bisson
C’est par un concours de menteries que Lucie Bisson fait son entrée dans le milieu du conte au Québec. Des contes, récits et légendes tantôt traditionnels, tantôt mis aux couleurs de la conteuse vous emmène dans l’univers de cette raconteuse d’histoires où par plaisir elle raconte en tandem avec le public. Dans la plus pure tradition de sa mémoire, les histoires prennent vie au grand plaisir des oreilles qui se tendent et des yeux qui s’allument. Le lieu s’emplie alors de cette atmosphère palpable qui fait que le public devient personnage.
Ronald Larocque
Ronald Larocque est conteur, écrivain et poète. Conteur de la première heure des Dimanches du conte de Montréal dont il fut l'Électron libre pour le 20ième anniversaire. Il raconte depuis plus de vingt-cinq ans et est cofondateur de Festilou, festival de contes pour les jeunes. Il a promené ses histoires de Natashquan à Poitiers, de Lyon à Mumbai, Goa et Delhi. Il conte pour les adultes et aussi pour les enfants qu'il guide dans la création de leurs propres contes dans le cadre de La culture à l’école. Docteur en lettres (Ph.D.) de l’Université Laval (création), c’est un globeconteur (mot qu'il a créé) pour le partage et l’amitié. Il a aussi produit plusieurs spectacles en solo, duo et collectif.
Crédit photo Suzane O’Neill Site web: https://ronaldlarocque.com/Un mot ou deux sur cette soirée : Ne la ratez surtout pas !
Ce spectacle est présenté dans le cadre du
Festival littéraire international de Montréal Metropolis bleu
Danièle Vallée
crédit photo : Michel Dozois
Originaire de Sherbrooke, Danièle Vallée vit à Vanier en Ontario depuis plusieurs années. Elle a fait paraître 7 livres, dont trois recueils de contes qu’elle porte maintenant à la scène à la scène en leur conférant une étonnante dimension artistique accentuée de blues, de jazz, de musiques de traditionnelles. Elle est également la directrice artistique de la série Les Contes Nomades présentée à la Quatrième salle du Centre national des arts.
Jean Cloutier
crédit photo UG
Jean Cloutier a toujours été un passionné de la musique et du jazz surtout. Il fait d'abord un an de conservatoire en violon. Le violon rangé, il se met aux percussions à la bombarde et au saxophone. Il rencontre Danièle Vallée sur une scène de théâtre et il l'accompagne depuis, avec tout son bataclan, puis devient conteur.
Jean-Marc Chatel, conteur, parle du spectacle Racontars présenté à la Quatrième salle du Centre national des arts le 23 février 2007.
Josée Brodeur, critique parue dans la Revue Liaison, Avril 2006) Spectacle Soldat Vallée et son Cher Jean, 4è Salle du Centre national des arts du Canada, Ottawa, ON.
Gail Anglin, Directrice artistique du Ottawa Storytellers’ Festival, Novembre 2005
Éric Robitaille, Réalisateur et animateur, Première chaîne, Radio-Canada, Sudbury, Juin 2004
Danielle Brabant offre un récit poétique et engagé, avec des personnages attachants, dans une mise en abime où la conteuse se dévoile et qui invite le public à renouer avec ses propres bouts d’histoires.
Presse
“[…] Pendant une heure, la magie de son récit porte les spectateurs sur un tapis volant de mots tandis qu’ils rient, pleurent et partagent même des bouts de leur propre histoire. […] Elle poursuit son chemin comme si elle avait une étoile pour guide. Quand on a été porté une fois par le fil de sa voix, on n’est pas vraiment surpris, c’est dans l’ordre des choses. “
Anjuna Langevin, Le Mouton Noir, journal indépendant basé à Rimouski, mars-avril 2012
Danielle Brabant
Musiciens invités : Sylvain Plante (batterie), Gabou (basse électrique), Marc Papillon (guitare électrique).
Peintre en direct aux couleurs du conte : Michel Monett
Simon Gauthier
Simon Gauthier est maître de l'égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l'hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s'y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s'est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l'a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
Ce spectacle/performance est une quête d’amour et d’identité qui s’interroge sur la place de l’Autre dans notre espace contemporain. Au départ, il y a le parcours initiatique du Prince Ahmed Al Kamel, surnommé le Pèlerin d’amour, à travers l’Andalousie mythique, où l’islam, le judaïsme et le catholicisme se sont côtoyés pacifiquement pendant sept siècles. Paroles conteuses, dites, chantées, musique araboandalouse, judéoespagnole et écriture spatiale, s’entrecroisent pour sonder les mystères de l’âme humaine et dévoiler notre désir et notre découverte de l’Autre, l’étrange, l’inconnu, l’indicible.
Conte, chant et poème : Myriame El Yamani
Oud, guitare et chant : Mohamed Masmoudi
Scénographie : Mylène Choquette
vidéoprojection assistée : Jean-Christophe Meunier
Accompagnement artistique : Frédéric Faye et Jacques-André Pasquet
Une Production de la Maison internationale du conte
Myriame El Yamani
|
Après le Conservatoire de musique de Sfax (Tunisie), Mohamed Masmoudi poursuit des études en musique classique et obtient un Baccalauréat à l’Université de Moncton (NB, Canada). En plus de sa formation académique, il approfondit ses connaissances du jazz et des différentes musiques du monde. Enseignant de piano, basse, guitare et oud (luth arabe), il fonde L’École de Musique en 2003. Avec Musa Dieng Kala (Sénégal), il clôture le Festival de musique Soufi de Fès (Maroc). Il joue ses solos de oud pour la comédie musicale Sherazade et il collabore avec Sokoun Trio pour la réalisation de l’album Zanneh (Prix du meilleur album canadien 2010 en musique du monde). Il a signé plusieurs compositions lyriques et des musiques de film, dont le documentaire Mes soeurs, les musulmanes. Consultez son site web. |
Raphaël Lopoukhine, Le Métropolitain, Toronto, février 2010
Shirine Saad, Voir Montréal, mars 2004