Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des neuf dernières saisons par nos « conteurs du mois » Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau Eric Michaud et Éric Gauthier, nous récidivons cette année en faisant de Richard Léveillé notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, sa toute nouvelle création ainsi qu’un florilège de ses meilleurs contes. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps.
Comment un si grand malheur peut-il arriver dans une maison où il y a eu tant de bonheur .
Enchevêtrés dans les méandres sinueux de sa mémoire et de son imagination, des personnages colorés aux destins singuliers, rencontrés au hasard de sa vie, apparaissent comme si nous les connaissions avec leurs bonheurs, leurs malheurs, leurs défauts et leurs qualités. Des histoires touchantes racontées dans une langue sapinée de la vallée de l’Alsigantéka (quelque part entre Drummond et Sherbrooke), ponctuées à la guitare un peu à la manière du wayangkulit javanais et entrecoupées de chansons comme dans les contes-chantés inuit.
Que ce soit en compagnie du désobligeant Boss de bécosse, de l’érudit Hermite à Kendall, ou perdu dans la tête de Wildkid Morin ou bien, pris dans une méchante tempête de neige en Gaspésie, on en sort avec quelques sillons de plus gravés dans notre boîte à pensées. Le psy des p’tits, 2+3=7, l’enfant chevreuil, le virtuose de la Côte-Nord, Bidou à trois mains, etc., sont autant d’histoires aux titres évocateurs qui nous brassent la cage à moineaux.
Richard Léveillé colore les évènements du quotidien et ceux de son imaginaire par des contes chantés en poésie rurale-distinguée. Avec Richard Léveillé, on n’est jamais certain de ce qui nous attend au détour du conte. Un soir d’hiver, dans une tempête, en route pour la Gaspésie tout peut arriver, même le plus étrange. On passe de la parole à la chanson, du loufoque à l’étrange sans s’en rendre compte. Avec Richard le conte et la musique s’entremêlent. »
Richard Léveillé
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des neuf dernières saisons par nos « conteurs du mois » Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau Eric Michaud et Éric Gauthier, nous récidivons cette année en faisant de Richard Léveillé notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, sa toute nouvelle création ainsi qu’un florilège de ses meilleurs contes. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps.!
Richard Léveillé
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des neuf dernières saisons par nos « conteurs du mois » Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau Eric Michaud et Éric Gauthier, nous récidivons cette année en faisant de Richard Léveillé notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, sa toute nouvelle création ainsi qu’un florilège de ses meilleurs contes. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps.
Richard Léveillé
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Cabaret du Roy un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des neuf dernières saisons par nos « conteurs du mois » Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau Eric Michaud et Éric Gauthier, nous récidivons cette année en faisant de Richard Léveillé notre « conteur du mois ». Durant tout le mois de mai, il présentera, entre autres, sa toute nouvelle création ainsi qu’un florilège de ses meilleurs contes. Cette année, c’est au Cabaret du Roy qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps.
Comment un si grand malheur peut-il arriver dans une maison où il y a eu tant de bonheur .
Enchevêtrés dans les méandres sinueux de sa mémoire et de son imagination, des personnages colorés aux destins singuliers, rencontrés au hasard de sa vie, apparaissent comme si nous les connaissions avec leurs bonheurs, leurs malheurs, leurs défauts et leurs qualités. Des histoires touchantes racontées dans une langue sapinée de la vallée de l’Alsigantéka (quelque part entre Drummond et Sherbrooke), ponctuées à la guitare un peu à la manière du wayangkulit javanais et entrecoupées de chansons comme dans les contes-chantés inuit.
Que ce soit en compagnie du désobligeant Boss de bécosse, de l’érudit Hermite à Kendall, ou perdu dans la tête de Wildkid Morin ou bien, pris dans une méchante tempête de neige en Gaspésie, on en sort avec quelques sillons de plus gravés dans notre boîte à pensées. Le psy des p’tits, 2+3=7, l’enfant chevreuil, le virtuose de la Côte-Nord, Bidou à trois mains, etc., sont autant d’histoires aux titres évocateurs qui nous brassent la cage à moineaux.
Richard Léveillé colore les évènements du quotidien et ceux de son imaginaire par des contes chantés en poésie rurale-distinguée. Avec Richard Léveillé, on n’est jamais certain de ce qui nous attend au détour du conte. Un soir d’hiver, dans une tempête, en route pour la Gaspésie tout peut arriver, même le plus étrange. On passe de la parole à la chanson, du loufoque à l’étrange sans s’en rendre compte. Avec Richard le conte et la musique s’entremêlent. »
Richard Léveillé
15 années à occuper les soirées dominicales, cela a permis au Diable Vert de présenter plus de 500 spectacles différents et de voir tout autant de conteurs fouler les planches des Dimanches du conte. Certains d’entre eux ont un parcours atypique qui certes mérite le respect mais qui provoque aussi la curiosité. Tout au long de la saison, cinq grandes entrevues seront menées de main de maître par l’animateur des Dimanches du conte afin d’en savoir plus sur ces artisans de la parole décomplexée, parole derrière laquelle se cache toujours une histoire, une anecdote à même de mieux nous faire connaître le conteur. Ce dimanche 28 avril, après notre grande entrevue, Simon Gauthier nous présentera sa nouvelle création, « Le vagabond céleste »
Simon Gauthier raconte l’abandon, l’abondance et le succès d’un homme qui avait tout pour être heureux. Mais un soir, il décille. Pierrot rêve de tout changer; il troque sa maison contre une paire de bottes, pour aller plus loin dans sa vie.
Depuis, il marche le Québec. Réel, intense et actuel, Pierrot le vagabond enlumine la conscience des gens qu’il croise. Le rencontrer, c’est recevoir un grand souffle de poésie qui nous étreint, comme des bras chauds venus nous réconforter durant une nuit d’hiver, sans abri. Du bonheur à travers le froid. Un récit émouvant porteur d’avenir.
Textes : Simon Gauthier Mise en scène : Daniel Gaudet
Simon Gauthier
Simon Gauthier est maître de l'égoïne. De La flûte enchantée à La valse aux adieux, en passant par l'hymne national américain version Hendrix, il joue de tout sur sa scie musicale. Un vrai juke-box boosté aux astéroïdes. Avec ses spectacles : Corne de brume, Simon Pète les plombs et Source(s), il habite la planète Conte depuis maintenant dix années et s'y porte très bien. Énergique, passionné, tantôt drôle, tantôt émouvant, il nous emmène dans des mondes oniriques et éclatés, vers lesquels on se laisse entraîner avec un indéniable plaisir. Natif de Sept-Îles, il a commencé sa carrière sur la Côte-Nord, en contant de village en village, à la manière des troubadours. Très apprécié en France, Simon y a fait plus de deux cents spectacles depuis 2005. Il s'est aussi produit en Suisse, en Belgique, en Tunisie, aux Pays-Bas et au Burkina Faso, où il a représenté le Québec au Xe Sommet de la francophonie, à Ougadougou. Comme l'a si bien dit Michel Faubert : «Simon est notre bédéiste de la parole.» On le reconnaît facilement en compagnie de son inséparable partenaire, la scie musicale, dont il tire des notes improbables.
Ainsi, lors d’une veillée traditionnelle surnommée la bouillotte, vous ferez peut-être la connaissance du bonhomme La Bean, vous serez transporté dans l’univers de ptits lutins tout en croisant le bonhomme sept-heures, le Brave marin, le curé de Terrebonne et plusieurs autres personnages intemporels
Inséparables cabotines, Nadyne Bédard et Marie-Pier Fournier roulent leur bosse parfois seules, mais s’impliquent souvent ensemble dans le milieu du conte, dans les formations, en organisant des soirées, en participant aux cercles de conteurs, aux comités du RCQ et surtout en contant et en chantant. Elles puisent toutes deux dans le répertoire traditionnel, contemporain et classique des contes et des chansons.
Passionnée de pédagogie, qualifiée de « dynamiseuse du conte » pour son enthousiasme à le faire connaître, Nadyne puise aussi dans le répertoire de son arrière-grand-père, Philias. Exploratrice de l’insolite, jongleuse habile des mots, Marie-Pier se définie comme une bavardeuse frondeuse peureuse heureuse et sérieuse à ses heures… avec un doigt dans l’œil, juste pour rigoler…Tour à tour, elles s’accompagnent parfois par des percussions.
En 2011-2012, elles se sont investies avec enthousiasme dans un projet subventionné et chapeauté par l’organisme Le Racont’Arts et elles ont publié un livre-CD d’histoires et de chansons collectées chez les aînés, « porteurs de traditions » de la région de la MRC des Jardins-de-Napierville, en Montérégie.
Marie-Pier Fournier
Nadyne Bédard
Diplômée en littérature, en éducation et en ethnologie, Nadyne Bédard partage depuis 2005 des contes et des chansons puisés dans le répertoire contemporain, mais surtout traditionnel. Le patrimoine, l’identité et l’authenticité caractérisent sa démarche artistique. Fais à ta tête! est sa troisième création, après le duo Raconte! avec Marie-Pier Fournier, et le solo Le pari du silence portant sur la vie et l’œuvre de son arrière-grand-père, Philias, autrefois collecté par Marius Barbeau. On l’a un jour qualifiée de « dynamiseuse du conte » pour son engagement dans le milieu. Sa devise : la parole et l’action!
Crédit photo : Guillaume Morin, le Folktographe.« Il y a une grande richesse patrimoniale dans cet ouvrage, car c’est la mémoire de la région que l’on y retrouve »
Jacques Larochelle, Journal Coup d’œil, 4 avril 2012
« Nadyne Bédard et Marie-Pier Fournier sont deux fameuses exploratrices de patrimoine vivant. Elles se sont méritées la confiance de nombreux aïeuls de leurs communautés d’origine et ont pu recueillir moult chansons et contes transmis de génération en génération. Par les histoires qu’elles content, les refrains qu’elles chantent, par leur naturel et complicité sur scène, elles permettent pleinement au patrimoine d’afficher son caractère vivant! »
Judith Poirier, conteuse
La grande complicité entre Marie-Pier et Nadyne jumelée à une décontraction de bon aloi réussie d’emblée à créer une atmosphère de bonne franquette qui souligne à merveille le petit côté d’antan de leur matériel. L’aspect du bon vieux temps de leurs contes comme de leurs chansons a permis à plusieurs spectateurs la joie de participer et surtout d’approfondir ou de rafraîchir leurs connaissances. L’écoute de ces derniers était sans faille et leur joie vraiment évidente. Nadyne et Marie-Pier suscitent de la curiosité et le goût d’en savoir davantage. Bravo et vive la suite.
Nicole Filiatrault
conteuse et organisatrice, soirée Contes et Chants à la Brûlerie Café crème,
lors de la Journée mondiale du conte, Longueuil, 22 mars 2012
Nadyne Bédard et Marie-Pier Fournier nous on servi un savoureux cocktail d’histoires et de chansons ramassées au gré du temps chez nos aînés de la MRC des Jardins-de-Napierville. Des contes, des anecdotes, des récits tels qu’on les racontait, tel qu’on les vivait il y a bien longtemps. C’est avec générosité et une complicité désarmante que nos deux comparses ont dépoussiéré ces histoires et ces chansons, c’est dans une performance remarquable qu’elles ont fait revivre ces récits en voie de disparition.
Elles nous en on fait voir de toutes les couleurs, à la fois drôles, touchantes, vraies, Nadyne et Marie-Pier nous ont permis de renouer avec la magie d’antan ou il suffisait d’être à l’écoute pour que le merveilleux fasse son œuvre. À voire et entendre.
André Morin
organisateur des soirées « Le Balai des conteurs » à la Récréation, Montréal, 3 mai 2012
Il y a un mur qui murmure, on dit qu’il raconte toutes les histoires du monde.
Je vais vous raconter son histoire, saurez-vous l’écouter?
Eveline Ménard
Conteuse depuis déjà 25 ans, Eveline Ménard a rencontré de nombreux conteurs traditionnels et a le souci de transmettre leur répertoire à travers ses différents projets de transmission et de spectacle, comme Conteur d'une génération à l'autre avec les enfants, Fil de vie, de la tradition à la réalité augmentée etc. Voyageuse dans l'âme, elle se déplace dans plusieurs régions du Québec et de la francophonie canadienne, effectue régulièrement des tournées en France et porte sa parole dans de nouveaux pays chaque année.
En mai 2010, lors d’une formation avec Martine Tollet sur les récits longs et les épopées, j’ai eu la chance de découvrir plusieurs versions de la grande épopée de la Grèce antique L’Iliade. Un texte d’Alessandro Barrico, Homer Iliade, m’a fait prendre conscience dans la dimension humaine de ce texte. En consultant diverses versions de ce grand texte, tant papier, qu’audio et vidéo, la dimension de la quête de gloire par la majorité des personnages, et ce, au-delà de la quête du bonheur ou de toutes considérations pour autrui est entrée en résonnance avec les actualités où on parlait de guerre en Iraq et en Afghanistan, de torture de prisonniers de guerre et d’attaque contre les civils, d’investissement majeur du gouvernement dans les forces armées, de désir des diverses populations à voir revenir leurs soldats, etc. Toutes ces guerres… au nom de quoi ? Au nom de qui ? Aux dépens de qui ? Pour quel profit ? Des conflits engendrés parfois il y a plusieurs années et qu’on poursuit parfois sans trop en connaître la véritable raison.
Marie Lupien Durocher
15 années à occuper les soirées dominicales, cela a permis au Diable Vert de présenter plus de 500 spectacles différents et de voir tout autant de conteurs fouler les planches des Dimanches du conte. Certains d’entre eux ont un parcours atypique qui certes mérite le respect mais qui provoque aussi la curiosité. Tout au long de la saison, cinq grandes entrevues seront menées de main de maître par l’animateur des Dimanches du conte afin d’en savoir plus sur ces artisans de la parole décomplexée, parole derrière laquelle se cache toujours une histoire, une anecdote à même de mieux nous faire connaître le conteur.
QU’EST-CE JE VAIS FAIRE QUAND J’VAS ÊTRE GRANDE, PRISE 2
En cette année d’anniversaires dans le monde du conte, Claudette revisite un solo qu’elle a présenté en 1983. Dans ce grand monologue non homologué il avait été question de cœur, de courtepointe, de pointe-folle, du magasin de son père, des commis-voyageurs, de ses enfants, de ses amours, du temps qui fuit et du pardon. Et voilà qu’elle y revient 30 ans plus tard, sous le même titre de QU’EST-CE JE VAIS FAIRE QUAND J’VAS ÊTRE GRANDE, PRISE 2. Depuis le vent a soufflé dans ses cheveux, l’eau a coulé sous les ponts et elle a continué à marcher. Vieillir, ne serait-il pas autre chose que de ne plus avoir peur de son passé ? Allez savoir, si c’est si vrai que ça. Le 31 mars, Jour de Pâques, sera peut-être jour de Résurrection.
CE QU’ON DIT D’ELLE
LES CONTES? ÇA S’EST FAIT TOUT SEUL ENTRE DEUX TRANCHES DE VIE COMME SI SES HISTOIRES LUI ÉTAIENT TOMBÉES UN BEAU MATIN SUR LA TÊTE ET QU’ELLE N’EN AVAIT PLUS QU’À EN DÉFILER LE FIL. L’UNIVERS DE CLAUDETTE L’HEUREUX N’EST PAS PLUS GRAND QU’UN MOUCHOIR DE POCHE ET POURTANT IL DANSE ET BRILLE COMME UNE TOILE DE CHAGALL.
DANIEL CONROD, TÉLÉRAMA, 2003.
Claudette L’Heureux est une brodeuse de récits hors pair. Lorsqu’elle pose les yeux sur son ouvrage, c’est pour ajouter le point du merveilleux à l’ordinaire.
JEAN-CLAUDE GERMAIN in L’automne 2008
TU AS FAIT UNE LONGUE VIE PLEINE D’HISTOIRES ET CE N’EST PAS LA FIN, TU AS UNE VOIX FAITE POUR LES CONTES.
C : charmante L: loyale A : adorable U : unique D ::droite E :énergique T : tenace T : (re) tenace E : étincelante
LOUNA SAURIOL, une jeune amie de 12 ANS
Claudette L’Heureux
Claudette L’Heureux s’est recyclée dans la menterie et ce malgré le fait qu’étant enfant elle avait été Jeannette ... or la Jeannette dit toujours vrai. On sait que mentir est un art et non la réponse à une commande. Une fois, un vieux conteur des bayous lui avait dit : "Si c’est beau, ça n’a pas
besoin d’être vrai". Elle va vous en conter des belles.
Stéphanie Bénéteau