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Et si tout avait commencé par un silence ? Un silence qui contient toutes les mélodies du monde. Un silence qui contient la vie. Et si de ce silence naissait un chant ? Un chant limpide transparent qui bercerait l’enfant dans le ventre de celle qui le porte.
J’ai longtemps entendu murmurer le chant au creux du silence. Puis, j’ai grandi et j’ai oublié. Il y a eu trop de bruit, le silence est devenu cri.
Et si de nouveau, je m’échappais du silence ? Et si je me souvenais l’espace d’un instant ? Alors je vous partagerai des histoires. Des histoires de naissance et de retrouvailles. Des histoires de ceux qui se souviennent. De ceux qu’on appelle dans le bruit du jour les étranges et qui pourtant dans le silence de la nuit, deviennent des êtres lumineux de vérité. Parce qu’un jour, ils ont entendu un chant souffler dans leurs entrailles et que ce chant les a emportés. `
Ponctué par les dessins de sable de la talentueuse Josée Courtemanche
Captation et Montage : Mathias Ollivier
« Carine fait danser les mots et emmène les spectateurs dans son monde enchanté » Journal La Montagne (France)
« Un beau succès ! » L’ECHO (France)
« Sans élever la voix, la conteuse murmure une histoire de mélodies intérieures, de piano aux touches multicolores et de maison sans toit. Entassée devant elle, la foule, muette, est suspendue à ses mots. » Le devoir, Montréal
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
LE LIEN DE VISIONNEMENT WEB SERA DISPONIBLE LA SEMAINE DE L’ÉVÉNEMENT SUR LePointDeVente.com. Concours de menteries organisé par la Confrérie des menteurs et animé par Éric Michaud. Invitée spéciale : l’électron libre de la saison Carine Kasparian
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Eric Michaud
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
LE LIEN DE VISIONNEMENT WEB SERA DISPONIBLE LA SEMAINE DE L’ÉVÉNEMENT SUR LePointDeVente.com. Nouveaux visages du conte avec Amélie Prévost, Charly Mullot, Aurore Liang, François Lavoie, Jacques Hébert, Laurelou Chapleau, Maude Leduc et Michel Pirro. Invitée spéciale : l’électron libre de la saison Carine Kasparian
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Amélie Prévost
Amélie Prévost est une artiste de la parole dont la démarche puise à parts égales dans la poésie et la performance scénique. D’abord comédienne de profession et autrice de théâtre à l’occasion, elle découvre le slam de poésie en 2010. Elle crée alors coup sur coup deux spectacles de poésie orale, dont le second, Ma langue dans ton oreille, tourne pendant quelques années, un peu partout au Québec. En 2015, elle devient championne québécoise de slam et remporte la Coupe du monde de slam-poésie, à Paris, en 2016. Depuis dix ans, elle a participé à plusieurs festivals en France, en Belgique et en Allemagne, en plus d’avoir foulé les planches d’à peu près toutes les scènes de poésie et de slam du Québec. Suite à la publication de quelques textes dans différents livres collectifs et revues littéraires, son premier recueil de poésie, Corps Flottants, illustré par le peintre Steve Poutré, a été publié aux éditions Neige-Galerie en 2018. Son plus récent spectacle, Fol Ouvrage (Torcher des paillettes), créé en collaboration avec sa collègue Queen Ka tourne au Québec et en France depuis 2018. Elle participe également au segment «combat de mots» de l’émission littéraire Plus on est de fous, plus on lit, sur les ondes de la radio de Radio-Canada depuis quelques années.
Crédit photo : Marili Clark
Aurore Liang
Aurore est née et a grandi en Chine. Elle a vécu en France pendant 5 ans et elle est vit à Montréal depuis 12 ans. Elle a été formée comme comédienne à Pékin dès son enfance. elle a aussi acquis des compétences en art oratoire avec Toastmasters (Montréal) et en interprétation avec Jingju, l’un des plus anciens théâtres du monde. Dynamique et expressive, elle adore échanger avec le monde à travers ses contes.
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Charly Mullot
Auteur et metteur en scène de spectacle avant d’être conteur, Charly Mullot puise ses racines dans un théâtre de collectif, de décentralisation culturelle et d’éducation populaire.
Toujours en quête d’univers poétiques et pluriels, il emprunte au folklore traditionnel occidental, au cinéma ou aux arts forains pour converger vers une esthétique simple, moderne et chaleureuse.
Ses influences et préoccupations (féministes, libertaires, décoloniales...) orientent son travail, tant dans ce qu’il écrit que dans le rapport qu’il entretient avec le répertoire traditionnel.
François Lavoie
Il n’y avait personne et puis il y avait quelqu’un…
Je me nomme François Lavoie. Depuis toujours, j’habite le Vieux-Terrebonne. Je peux affirmer que le Vieux-Terrebonne m’habite aussi. Mes valeurs de communauté, de partage et d’ouverture m’ont permis de faire ma place dans ce coin de pays, que ma famille a choisi, il y a plus de quarante ans.
J’ai grandi dans un environnement végétarien, gourmand des autres et du monde qui m’entoure. Enfant libre, j’ai rapidement perdu l’intérêt pour l’école, les apprentissages scolaires étant moins intéressants que la vie des humains qui m’enseignaient. Un diagnostic tardif de dyslexie m’a poussé à finalement m’éloigner de l’école pour me rapprocher du monde du communautaire. C’est pourtant à l’école que j’ai appris à être autodidacte et à devenir un leader positif pour ma communauté.
Mon expérience de travail a débuté avec un projet à la Maison des jeunes de mon quartier, lieu que je fréquentais avec d’autres jeunes plutôt marginaux. Nous faisions du bénévolat sur le Site historique de l’Île-des-Moulins, à deux pas de chez moi. C’est là que s’est développé mon grand intérêt pour le spectacle et la communauté. En 10 ans comme jeune bénévole, j’ai pu apprendre tout ce qu’on a bien voulu me montrer, étudiant tout ce qui m’intéressait, loin du cadre traditionnel de l’école : art du cirque, théâtre, animation de foule, spectacle, couture, chapellerie, cordonnerie, menuiserie et scénographie, notamment. Par la suite, j’ai entrepris des productions de théâtre où j’assurais l’idéation, les textes, la scénographie, la mise en scène, le budget, la mise en marché et la production. Grâce à ces projets d’envergure, mes aptitudes de gestionnaire et de chargé de projet se sont affûtées.
J’ai ensuite fondé ma propre entreprise : Lavoie direction conception artistique. J’ai commencé à imaginer des salles de jeux, des inventions de toute sorte et des décors pour plusieurs clients dans le monde de la culture, de l’amusement et du théâtre. Récemment, j’ai commencé à utiliser mes talents et idées pour faire la différence dans ma communauté. J’ai démarré une coopérative de solidarité, évoluant autour d’un mode de pensée écolonomique. J’ai approfondi mes connaissances des modes de gestion alternatifs comme la sociocratie, holacratie, autogestion, etc.
Mes énergies évoluent maintenant autour des abeilles de la coopérative La Ruche, nourrissant les projets citoyens et encourageant les initiatives communautaires le plus possible. Dans mes temps libres, je me consacre à mes autres abeilles, grâce à ma plus récente passion : l’apiculture.
Jacques Hébert
Un pied ancré dans l'urbanité de Québec et l'autre solidement enraciné dans son Lotbinière natal, Jacques Hébert est un as du grand écart narratif. En contant et racontant, il aime garder vivante la mémoire des géants de la vie ordinaire qui nous ont précédé. Puisant dans le folklore, les souvenirs d'enfance et la fantaisie qui l'anime, Jacques saura vous charmer, vous divertir ou vous émouvoir.
Laurelou Chapleau
Laurelou, c’t une p tite fille du Vieux Terrebonne, elle est née d’une douce mère qui cultivait les fleurs et d’un père fantaisiste qui est devenu conteur. Un jour elle reçu des contes en héritage avec le porte voix pour les raconter. Personnage d’époque à temps partiel et rêveuse d’histoires, elle fait souvent des voyages dans le temps à la recherche de la poésie qui se trouve dans les recoins de son village comme dans le cœur des gens qui y ont habités et elle s en inspire. Il parait qu’on peut voir des images dans ses yeux lorsqu’elle conte.
Maude Leduc-Préfontaine
Parallèlement à mes activités de conteuse et d’écrivaine, je suis infirmière clinicienne, ce qui m’influence en tant qu’artiste, et m’amène à toujours placer l’humain au cœur de mes créations.
J’aime prendre le temps d’explorer les différents points de vue narratifs. Ceci avec la volonté d’engager la discussion dans un esprit de partage et de réciprocité. J’aborde les thèmes de l’identité, la stigmatisation des gens, de la maladie, des liens familiaux et sociaux et le sentiment d’isolement.
Crédit photo : Marc Lepage.
Michel Pirro
Woups Laflammèche est né vers l’âge de deux ans, en regardant la lumière des phares d’autobus se glisser à travers les lattes du store vénitien sur les murs et le plafond du salon. C’est sur leurs lignes dansantes qu’allait s’écrire sa vie. À l’âge de raison, il racontait des histoires de peur à son frère et ses sœurs pour les faire patienter avant le réveillon de Noël.
Adolescent, poète comme tout le monde, il voulut marier peinture et parlure. La peinture n’a pas voulu de lui, alors il a eu la vie dure. Pendant de longues années, il a parcouru les rues de Montréal à essayer d’acheter des yeux, des oreilles pour ses Aventures de Woups Laflammèche et la tribu des Anwouèyes. Un fablier rock illustré. Place aux poètes, Radio Centreville, rue Prince Arthur. Autoédition, librairie, concierge de solitude. Dur, dur...
Au mitan de sa vie, il s’est mis à enseigner pour fonder une famille. C’est en enseignant qu’il apprend, et en apprenant qu’il enseigne : le français aux immigrants, en classe d’accueil, en soutien linguistique. Pendant 30 ans! Des projets, des spectacles, des concours de menteries. Et le conte, sous toutes ses facettes, avec André, Franck, Nadine, Sylvi, Joan, Judith...
Maintenant à la retraite, il peut enfin courir après tous les lapins du pouvoir désoxyribonuclétiel des mots. Vous pouvez le suivre sur son blogue Woups... ma grammaire! Ou vous pouvez croire au petit bonhomme sur la lune et écouter ce qu’il raconte.
La soirée d’ouverture des Dimanches du conte avec Aurore Liang (Chine), François Lavallée, Mafane (La Réunion), Amélie Prévost, Germaine Mesténapéo (Innue), Mathieu Ferland, Noubi (Sénégal), Arleen Thibault, Jean-Maxime Lévesque, Ligia Borges (Brésil), Flavie Dufour, Saulo Giri (Panama) et Véronique Bachand. Invitée spéciale : l’électron libre de la saison Carine Kasparian
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Arleen Thibault
Flavie Dufour
Chanteuse, compositrice et poète de l’oralité, Flavie Dufour rayonne sur les scènes littéraires et de musique improvisée de Québec. Elle fait son entrée dans l’univers du conte au festival Les jours sont contés en Estrie et se distingue à la finale provinciale de Slam de Montréal (2010). Berçant une passion pour les chants ethnique, ses performances mi-chanté mi-conté mélange une poésie kynesthésique et une voix dans son état brut. Elle publie, en 2019 aux Éditions Planète Rebelle, le livre disque de son spectacle hybride Clair de femme.
" Dans sa voix vibre des voyages qu’on sent de plusieurs contrées : chants d’Afrique peut-être, jeu de gorge defroids pays sûrement, roucoulements d’oiseaux, yodel et j’en oublie sûrement.Ses jeux de voix dont on sent le corpsrappellent fort les jeux de voix de notrechanteuse Camille : les wouawoua ronds demon coeur rrroucoulent d’allégresse; la voixest corporelle, elle fait corps à nos oreillesdu rythme donné aux syllabes – palpable,presque-palpable" Agnès André, Nos Echanteurs, 15 novembre 2019.
Amélie Prévost
Amélie Prévost est une artiste de la parole dont la démarche puise à parts égales dans la poésie et la performance scénique. D’abord comédienne de profession et autrice de théâtre à l’occasion, elle découvre le slam de poésie en 2010. Elle crée alors coup sur coup deux spectacles de poésie orale, dont le second, Ma langue dans ton oreille, tourne pendant quelques années, un peu partout au Québec. En 2015, elle devient championne québécoise de slam et remporte la Coupe du monde de slam-poésie, à Paris, en 2016. Depuis dix ans, elle a participé à plusieurs festivals en France, en Belgique et en Allemagne, en plus d’avoir foulé les planches d’à peu près toutes les scènes de poésie et de slam du Québec. Suite à la publication de quelques textes dans différents livres collectifs et revues littéraires, son premier recueil de poésie, Corps Flottants, illustré par le peintre Steve Poutré, a été publié aux éditions Neige-Galerie en 2018. Son plus récent spectacle, Fol Ouvrage (Torcher des paillettes), créé en collaboration avec sa collègue Queen Ka tourne au Québec et en France depuis 2018. Elle participe également au segment «combat de mots» de l’émission littéraire Plus on est de fous, plus on lit, sur les ondes de la radio de Radio-Canada depuis quelques années.
Crédit photo : Marili Clark
Aurore Liang
Aurore est née et a grandi en Chine. Elle a vécu en France pendant 5 ans et elle est vit à Montréal depuis 12 ans. Elle a été formée comme comédienne à Pékin dès son enfance. elle a aussi acquis des compétences en art oratoire avec Toastmasters (Montréal) et en interprétation avec Jingju, l’un des plus anciens théâtres du monde. Dynamique et expressive, elle adore échanger avec le monde à travers ses contes.
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
François Lavallée
Germaine Mesténapéo (Innue)
Germaine a longtemps œuvré en communications. Après avoir travaillé en muséologie au Musée canadien des civilisations à Gatineau, elle a complété un baccalauréat en travail social à l’Université du Québec. C’est à travers ses études en travail social qu’elle a découvert le conte et l’intervention par l’art. C’est en collaborant avec les jeunes des communautés innues, qu’elle a constaté l’importance de faire revivre l'imaginaire par le conte afin de promouvoir la langue et culture innues.
Jean-Maxime Lévesque
Mathieu Ferland
Enseignant d’éthique et culture religieuse, animateur, auteur et conteur, Mathieu Ferland est spécialiste de la mythologie scandinave. C’est en forgeant que l’on devient forgeron, mais c’est en le contant que le conte prend vie. Mathieu est tout à son aise devant le public, peu importe le nombre ou le genre et depuis 2016, il partage sa passion avec de nombreux publics de tous âges et de toutes sortes: cafés culturels, écoles secondaires, foires médiévales et familiales et autour de feux de camps.Les mythes scandinaves, récits des Vikings, relatent la création du monde, de l’homme, de monstres, de dieux et de géants; on assiste l’origine du tremblement de terre, de l’amour et de la guerre; on voit la destruction des mondes... et son recommencement.Tirez-vous une buche, remplissez votre corne d’hydromel et devenez Viking le temps d’un conte de Mathieu Ferland.
Noubi (Ibnou Ndiaye)
Saulo Giri
Ses racines l’ont ramené au Panama et vers plusieurs autres pays d’Amérique latine pour entrer en lien avec les différentes cultures de ce merveilleux continent.
Saulo fouille les recoins du terroir panaméen pour y trouver des poètes, musiciens, conteurs qui lui transmettent un peu de leur flamme de vie.
Dans le monte (campagne panaméenne) tout est possible : plusieurs témoignent avoir rencontré le diable en personne ou même avoir entendu les animaux parler.
Il raconte autant pour les enfants que pour les adultes qui ont oublié leur innocence.
Accompagné d’instruments qu’il a recueillis dans sa valise, il raconte des histoires circulaires pour que ce monde ne nous rende pas carrés.
Au son du tambour, la parole est partagée tout en effaçant le mur qui sépare le conteur du public. Comme par magie on commence à raconter tous ensemble sous un ciel circulaire.
Ses contes sont partagés en français, anglais, espagnol et parfois en esfragnol.
Avec Jérôme Bérubé, Paul Bradley, Carine Kasparian, Ariane Labonté, Nicolas Rochette et Céline Jantet.
Ariane Labonté
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Céline Jantet
Jérome Bérubé
Nicolas Rochette
Paul Bradley
Il arrive parfois que les histoires nous parlent, qu’elles chuchotent un cri : « Raconte-moi ! ». En funambule, à l’écoute de ce qui émerge dans l’ici et maintenant, Carine nous invite à voyager sur le fil de l’instant. Il y aura des contes de création : nouveau-nés ou d’autres plus anciens avec lesquels elle converse et danse depuis longtemps. Il y aura aussi des contes vieux comme le temps qui chatouillent le coeur et l’âme. Et pourquoi pas un peu de poésie ? Nous verrons.
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Isabelle St-Pierre
Fait entendre sa voix depuis 20 ans (poésie, slam, conte) au Québec, au Canada, en Acadie et en France. Artiste engagée, elle dirige et anime depuis 2005, de nombreux spectacles, micro ouverts, ateliers : Festival de conte de Bouche à Oreille (2005-2007), Festival Interculturel du conte du Québec (2005-2019). Elle dirige pendant 6 ans le volet conte/slam de l’État d'Urgence (ATSA) de 2005 à 2010, invitant plus d’une vingtaine d’artistes et donnant la parole aux sans-abris. Elle a coorganisé et animé pendant 5 ans, les Slam Sessions Montréal, soirées mensuelles avec une formule artiste invité et micro ouvert. En janvier 2016, elle coproduit un événement sans précédent, Paroles Fauves : vigile poétique contre la violence faite aux femmes autochtones. En avril 2017, elle a fait une résidence au Banff Centre for Arts, dans le cadre du programme de Spoken Word. Depuis, elle et dirige et coproduit la série des Cabarets Poésie All-Star (Dimanches du conte et festival des Grandes Gueules) avec Debout : Actes de parole, a survécu à la Grande nuit de la poésie de St-Venant-de-Paquette et au festival Contabadour, a fait partie de la distribution du Cabaret des Hypothèses (FIL) dédié au croisement entre la science et la littérature.
1 Marc André Fortin
Bachelier en psychologie et ayant une formation en enseignement à l’université du Québec, Marc-André jongle professionnellement avec le conte depuis près de 10 ans. À l’affût des rumeurs et des mythes, il vous transporte dans son monde géantesque ; pays dont rêvent encore les fous et les poètes. Agrémenteur d’histoires sûrement vraies, il pige dans les faits historiques et les légendes pour leur donner une couleur singulière, profonde et humoristique.
Amoureux d’anecdotes de village et d’images langagières, Marc-André vous funambulise la ligne de nos ancêtres, celle qui départage le réel du doute. Il donne de la folie à ses récits et du fabuleux à ses personnages, du grand étendu qui dépasse l’étendement ! De la petite histoire quotidienne s’ouvrant sur du grandiose. Parce que parfois, mille mots valent mieux qu’une image.
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Céline Jantet
Lucie Bisson
C’est par la menterie (petite histoire pour divertir) que Lucie Bisson fait son entrée dans le milieu du conte au Québec. Les prix qu’elle remporte sont le début d’une magnifique odyssée dans le monde merveilleux de la parole conteuse. Elle écrit la plupart de ses histoires tantôt insolites, tantôt frôlant la vérité et elle n’oublie jamais que toute vérité n’est pas bonne à dire… Lucie Bisson poursuit sa route sur le chemin du conte, remplie de gratitude envers ceux et celles qui ont su, par leurs encouragements et leurs précieux conseils, faire grandir ses ailes de conteuse et devenir la raconteuse qu’elle est aujourd’hui.
Marie-Pier Fournier
Ronald Larocque
Conteur de la première heure des Dimanches du conte, il raconte depuis plus de seize ans. Il a participé à plusieurs festivals de contes et promené ses histoires de Natashquan à la baie Sainte-Marie en Nouvelle-Écosse, et même en France comme invité d’honneur à Fontaine–Le Comte près de Poitiers où il a été réinvité pour une série de sept spectacles. Il a aussi conté en français et en anglais, en Inde à Mumbai, Goa et Delhi. Il a présenté son précédent spectacle <L’homme qui lisait dans les mamelons et autres contes de l’émotion> plus d’une quarantaine de fois dont huit fois en rafale à Valleyfield au Cabaret d’Albert (livre-disque chez Planète rebelle). Il est Arbraconteur et conte pour les enfants dans le cadre du programme « La culture à l’école » du ministère de l’Éducation. Son projet d’avenir c’est d’être globe-conteur (mot qu’il a créé) pour le partage et l’amitié.
Sophie Boissonneault
Gisèle Ndong Biyogo (Gabon)
LOUISA LAFABLE, MÉDIA MOSAÏQUE, 22 Octobre 2010
"Lundi 18 octobre, le Petit Medley s’est transformé en village africain (...) Pour cette première édition, l’organisation avait opté pour deux conteurs aguerris. Ludovic N’doly et Gisèle Ndong Biyogo. Aussi grande qu’un eucalyptus et devant un baobab (imaginaire, mais obligatoire), cette dernière a livré toute une prestation pour la première."Stephane Waffo Touki Montréal 22. octobre 2010
" « La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille » affirme Gisèle Ndong Biyogo. C’est ainsi que se résumeraient les chroniques de cette femme originaire du Gabon. La néo-Québécoise cumule deux talents : c’est une humoriste surprenante et une conteuse vivifiante. L’artiste a conquis le public avec ses mots aiguisés jeudi soir, au Balattou."Mathilde Mercier Touki Montréal 18 mars 2011
Alexandre Gauthier
André Morin
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Cédric Landry
C’est dans ses Îles-de-la-Madeleine natales que Cédric Landry fait ses débuts, notamment en participant à la Ligue madelinienne d’improvisation et en fondant la troupe de théâtre Les Palabreux. En 1997, il fonde la Ligue d’improvisation de Rimouski (LIR) et, en 2006, il cofonde le Théâtre l’Exil. On lui décerne le Prix de la relève artistique du Bas-Saint-Laurent en 2006 et le Prix culturel rimouskois en 2009. Cédric Landry est l’auteur de plusieurs pièces de théâtre dont Recherchés, Pierre-Luc à Isaac à Jos (en nomination au prix Michel-Tremblay pour le meilleur texte dramatique en 2009) et Raphaël à Ti-Jean. Parallèlement, Cédric œuvre en cinéma et télévision. Il a entre autres réalisé la série Capitaines des hauts-fonds, diffusée à Explora et à Ici Radio-Canada. Son premier spectacle de conte théâtral a été présenté au Vieux Treuil (Îles-de-La-Madelaine) pour 20 représentations à l’été 2016 et sera de la programmation du Théâtre du Bic au printemps 2017.
Clémentine Nogrel
Mathieu Riendeau
Nadyne Bédard
Diplômée en littérature, en éducation et en ethnologie, Nadyne Bédard partage depuis plus d’une quinzaine d’années des contes et des chansons puisés dans le répertoire contemporain, mais surtout traditionnel. Le patrimoine, l’identité et l’authenticité caractérisent sa démarche artistique. Ça donne pas le goût est sa troisième création, après le duo Raconte! avec Marie-Pier Fournier, et le solo Le pari du silence portant sur la vie et l’oeuvre de son arrière-grand-père, Philias, autrefois collecté par Marius Barbeau. Aussi, on l’a un jour qualifiée de « dynamiseuse du conte » pour son engagement dans le milieu où elle a le bonheur d’allier son expertise en pédagogie à sa pratique artistique. Sa devise : la parole et l’action!
Nicolas Landry
Magnifique ! Mélange entre poésie et conte madelinot.
Danny Poirier, CFIM, lundi le 4 juillet 2011
Nicolas Landry a puisé à même la mémoire des Iles afin d’en raconter les miracles du quotidien. Sous sa plume, il a trasformé ses souvenirs en poésie et en histoires à dormir debout […] aux détours des parlures de son enfance, il raconte avec finesse et sensibilité ses pèlerinages sur la plage et ses anecdotes lyriques.
Sara Dignard, Le Radar, 7 au 13 juillet 2011
Ronald Larocque
Conteur de la première heure des Dimanches du conte, il raconte depuis plus de seize ans. Il a participé à plusieurs festivals de contes et promené ses histoires de Natashquan à la baie Sainte-Marie en Nouvelle-Écosse, et même en France comme invité d’honneur à Fontaine–Le Comte près de Poitiers où il a été réinvité pour une série de sept spectacles. Il a aussi conté en français et en anglais, en Inde à Mumbai, Goa et Delhi. Il a présenté son précédent spectacle <L’homme qui lisait dans les mamelons et autres contes de l’émotion> plus d’une quarantaine de fois dont huit fois en rafale à Valleyfield au Cabaret d’Albert (livre-disque chez Planète rebelle). Il est Arbraconteur et conte pour les enfants dans le cadre du programme « La culture à l’école » du ministère de l’Éducation. Son projet d’avenir c’est d’être globe-conteur (mot qu’il a créé) pour le partage et l’amitié.
Yolaine
Depuis 2005, Yolaine compose ses contes autour de thèmes tirés des folklores traditionnel et contemporain. Elle voit le conte comme un art de la relation, un espace d’écoute et de rencontre. Yolaine a participé à de nombreuses soirées et festivals à travers le Québec, ainsi qu’en France et au Togo. Elle donne aussi des ateliers autour du conte, de la menterie, de la créativité et de l’organisation du travail de l’artiste. Elle s'occupe de la programmation des événements de l'organisme Les Ami.e.s Imaginaires, diffuseur de contes, de légendes et de menteries à Québec.
Crédit photo : Jérôme Kearney
André Morin
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Caroline Legault
Françoise Crête
www.conte-quebec.com/conteurs/francoise-crete
Lumineuse conteuse nous transportant magiquement sur les ailes de son histoire. Une salle comble d'un public qui ovationne la conteuse... Longue vie à Esther, oie sauvage ! (Karo Lego, Festival interculturel du conte du Québec (FICQ), octobre 2016) Sublime conte et véritable moment magique, parsemé de belles émotions ! (Soraya Garcia, FICQ , octobre 2016)Murielle Larochelle
Je suis conteuse depuis belle lurette. Née dans la maison familiale un jour de grosse tempête, ce fut une grande aventure! Y a là matière à conter! Et non, Blanche-Neige ce n’est pas moi.
L’aventure continue, celle de la vie, des voyages, des contes! Mes périples autour du monde m’ont menée hors des sentiers battus en Asie, Afrique, Europe, Amérique du Sud. J’y ai recueilli maints contes et légendes et des anecdotes époustouflantes.
J’ai entendu souffler le vent du désert, hurler le loup des montagnes, crisser sous mes pas la mer de sel du Salar de Uyuni. Écoutez, peut-être, entendrez-vous aussi!
La Conteuse du village… pas menteuse, chanteuse, voyageuse !
Yoda Lefebvre
Le gars: Yoda Lefebvre est un conteur, c'est-à-dire un écrivain qui n'écrit pas, un acteur qui ne joue pas, et un metteur en scène qui ne met personne d'autre en scène que lui-même. Vraiment, quelqu'un à ne pas fréquenter...
Son principe; prétendre à la vérité en disant des choses inventées.
Sa méthode; évoquer ce qui est beau et ce qui est horrible, le sublime et le monstrueux, toutes la manne d’émotions qui nous dépassent... mais sans les pousser dans la gorge du public, de façon à ce que chacun puisse se les représenter jusqu'à la limite de ce qu'il a le goût de vivre aujourd'hui.
Pour le reste, il adore les imprévus et les impondérables; c’est chaque fois un bon stimulant…
Crédit photo : Karine DésaulniersGisèle Ndong Biyogo (Gabon)
LOUISA LAFABLE, MÉDIA MOSAÏQUE, 22 Octobre 2010
"Lundi 18 octobre, le Petit Medley s’est transformé en village africain (...) Pour cette première édition, l’organisation avait opté pour deux conteurs aguerris. Ludovic N’doly et Gisèle Ndong Biyogo. Aussi grande qu’un eucalyptus et devant un baobab (imaginaire, mais obligatoire), cette dernière a livré toute une prestation pour la première."Stephane Waffo Touki Montréal 22. octobre 2010
" « La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille » affirme Gisèle Ndong Biyogo. C’est ainsi que se résumeraient les chroniques de cette femme originaire du Gabon. La néo-Québécoise cumule deux talents : c’est une humoriste surprenante et une conteuse vivifiante. L’artiste a conquis le public avec ses mots aiguisés jeudi soir, au Balattou."Mathilde Mercier Touki Montréal 18 mars 2011
Luigi Rignanese
André Lemelin
Originaire de l’Abitibi, André Lemelin raconte depuis le milieu des années 1990 où il a tour à tour exploré les contes urbains et merveilleux, pour finalement approfondir la manière traditionnelle de conter : il brode ses histoires sur des canevas en relation avec l’auditoire, improvise au besoin et choisit ses contes selon les gens présents et l’environnement dans lequel il évolue. Conteur sensible, il nous transporte dans son monde de paroles imagées et de gestes remplis d’allégories. Il partage ses histoires à travers les écoles et évènements de conte du Québec.
Site personnelCarine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Cédric Landry
C’est dans ses Îles-de-la-Madeleine natales que Cédric Landry fait ses débuts, notamment en participant à la Ligue madelinienne d’improvisation et en fondant la troupe de théâtre Les Palabreux. En 1997, il fonde la Ligue d’improvisation de Rimouski (LIR) et, en 2006, il cofonde le Théâtre l’Exil. On lui décerne le Prix de la relève artistique du Bas-Saint-Laurent en 2006 et le Prix culturel rimouskois en 2009. Cédric Landry est l’auteur de plusieurs pièces de théâtre dont Recherchés, Pierre-Luc à Isaac à Jos (en nomination au prix Michel-Tremblay pour le meilleur texte dramatique en 2009) et Raphaël à Ti-Jean. Parallèlement, Cédric œuvre en cinéma et télévision. Il a entre autres réalisé la série Capitaines des hauts-fonds, diffusée à Explora et à Ici Radio-Canada. Son premier spectacle de conte théâtral a été présenté au Vieux Treuil (Îles-de-La-Madelaine) pour 20 représentations à l’été 2016 et sera de la programmation du Théâtre du Bic au printemps 2017.
Claudia Tobar
François Lavallée
Lucie Bisson
C’est par la menterie (petite histoire pour divertir) que Lucie Bisson fait son entrée dans le milieu du conte au Québec. Les prix qu’elle remporte sont le début d’une magnifique odyssée dans le monde merveilleux de la parole conteuse. Elle écrit la plupart de ses histoires tantôt insolites, tantôt frôlant la vérité et elle n’oublie jamais que toute vérité n’est pas bonne à dire… Lucie Bisson poursuit sa route sur le chemin du conte, remplie de gratitude envers ceux et celles qui ont su, par leurs encouragements et leurs précieux conseils, faire grandir ses ailes de conteuse et devenir la raconteuse qu’elle est aujourd’hui.
Ronald Larocque
Conteur de la première heure des Dimanches du conte, il raconte depuis plus de seize ans. Il a participé à plusieurs festivals de contes et promené ses histoires de Natashquan à la baie Sainte-Marie en Nouvelle-Écosse, et même en France comme invité d’honneur à Fontaine–Le Comte près de Poitiers où il a été réinvité pour une série de sept spectacles. Il a aussi conté en français et en anglais, en Inde à Mumbai, Goa et Delhi. Il a présenté son précédent spectacle <L’homme qui lisait dans les mamelons et autres contes de l’émotion> plus d’une quarantaine de fois dont huit fois en rafale à Valleyfield au Cabaret d’Albert (livre-disque chez Planète rebelle). Il est Arbraconteur et conte pour les enfants dans le cadre du programme « La culture à l’école » du ministère de l’Éducation. Son projet d’avenir c’est d’être globe-conteur (mot qu’il a créé) pour le partage et l’amitié.