27 septembre – Le duo découverte des Îles de la Madeleine
Les Duos découvertes
Avec ces duos, le Diable Vert veut donner la chance à des conteurs de la relève, qui ont déjà fait leur preuve à l’occasion de la soirée « Nouveaux visages du conte au Québec », de se « faire les dents » en duo avant éventuellement de présenter un spectacle solo dans le cadre des Dimanches du conte.
Natives des Îles-de-la-Madeleine, Annick Leblanc et Judith Chartier viennent de loin pour bercer les oreilles de la Grande terre au son d’histoires salines et musicales des Maritimes. Telle une sirène colorée directement sortie des eaux, Judith Chartier ensorcèle par la candeur et la fraicheur de ses contes. Drôle d’oiseau au franc parlé, Annick LeBlanc voltige entre dunes et mondes pour se poser sur un air d’accordéon devant vous. Chacune à leur manière, et telles les vagues façonnant les formes mystérieuses surgissant des caps de grès rouge, elles laissent leurs imaginations sculpter les récits contés des îles-de-la Madeleine.
Judith Chartier
La tête dans les nuages, le cœur ancré aux Îles-de-la-Madeleine, Judith Chartier livre sa parole au vent en espérant qu’il souffle assez fort pour bien se faire entendre. C’est avec la candeur d’une enfant qu’elle mélange réalité, cause sociale et imaginaire. Elle fait ses premières expériences sur la scène grâce au théâtre et à la danse qu’elle pratique encore aujourd’hui, plus particulièrement le baladi. En 2006, la jeune conteuse remporte le concoursSecondaire En Spectacle aux Îles avec l’une de ses histoires et depuis, elle partage son amour du conte dans les écoles et les garderies. En 2007, elle fait une brève apparition au Festival traditionnel de Contes et Légendes des trois rivières.Cette année, elle participe pour une troisième fois au Festival international Contes en Îles.
Ce que les médias en ont dit
« La jeune madelinienne Judith Chartier, à peine âgée de 16 ans, a séduit les visiteurs par sa façon de raconter. »
Marc-AndréFortin, RegroupementduconteauQuébec
« Quant à la première position, elle fut accordée à deux jeunes femmes […] L’autre, danseuse, chanteuse et conteuse aux yeux de feu, à l’expression corporelle juste et à l’écriture bien ficelée, Judith Chartier »
Merrielle Ouellet, LE RADAR, 8 décembre 2006
Annick Leblanc
En voie d’achever son périple initiatique au pays de l’UQÀM, où elle a séjourné le temps d’un BAC au sein de la tribu «ARC» (Animation et Recherche Culturelle), Annick LeBlanc nous revient rescapée – et bien vivante – dans l’univers du conte et des folies imaginaires. Depuis 2001, elle participe à quelques reprises au Festival international Contes en Îles, d’abord en tant qu’accordéoniste improvisée et enfin, comme conteuse de la relève. En 2004, la jeune madelinienne remporte le premier prix du jury au concours Cégep en spectacle des Îles avec un récit intitulé «Le corbeau du Havre-Aubert» de Jacques Leblanc. Son parcours semé de paroles et de musiques des Îles-de-la-Madeleine, l’a également mené jusqu’à Natasquan, lors de la première édition du Festival de l’Innucadie en 2006.
Ce que les médias en ont dit
«Annick Leblanc sait pourquoi le diable ne vient plus rôder autour de Havre-Aubert. Dans une langue fascinante, où se mêlent le langage pour les sourds […], l’accordéon et les mots parlés, elle ensorcelle son auditoire, lui apprenant à se méfier des grands corbeaux.»
Tristant Malavoy-Racine, Voir, 28 septembre 2006
«Une aisance palpable avec son public, des pointes d’humour très bien placées, un soupçon d’improvisation aux justes moments, un sens du «punch» incroyable et une histoire qui coulait de l’imaginaire comme une belle rivière qu’on aime entendre.»
Georges Gaudet, Le RADAR, 26 novembre au 2 décembre 2004
Judith Chartier
La tête dans les nuages, le cœur ancré aux Îles-de-la-Madeleine, Judith Chartier livre sa parole au vent en espérant qu’il souffle assez fort pour bien se faire entendre. C’est avec la candeur d’une enfant qu’elle mélange réalité, cause sociale et imaginaire. Elle fait ses premières expériences sur la scène grâce au théâtre et à la danse qu’elle pratique encore aujourd’hui, plus particulièrement le baladi. En 2006, la jeune conteuse remporte le concoursSecondaire En Spectacle aux Îles avec l’une de ses histoires et depuis, elle partage son amour du conte dans les écoles et les garderies. En 2007, elle fait une brève apparition au Festival traditionnel de Contes et Légendes des trois rivières.Cette année, elle participe pour une troisième fois au Festival international Contes en Îles.
Ce que les médias en ont dit
« La jeune madelinienne Judith Chartier, à peine âgée de 16 ans, a séduit les visiteurs par sa façon de raconter. »
Marc-AndréFortin, RegroupementduconteauQuébec
« Quant à la première position, elle fut accordée à deux jeunes femmes […] L’autre, danseuse, chanteuse et conteuse aux yeux de feu, à l’expression corporelle juste et à l’écriture bien ficelée, Judith Chartier »
Merrielle Ouellet, LE RADAR, 8 décembre 2006