Comme à chaque année, le mois d’octobre est consacré aux conteurs du monde avec la série « Contes autour du globe ». Pour l’occasion, nous accueillerons la conteuse franco-algérienne Myriam Pellicane, la conteuse Pioupioulandaise Colette Migné, les conteurs bretons Patrik Ewen et Jean-Marc Derouen, la conteuse d’origine gabonaise Gisèle Ndong Biyogo ainsi que la conteuse du Congo-Brazaville et de la Nouvelle-Calédonie Amélence Darbois. Dans ce voyage sur les routes du Pacifique et de l’Afrique en passant par les chemins de traverse de la Bretagne et de la Pioupiouland, vous serez envoûtés par des paroles tous azimuts.
Myriam Pellicane
Petite, elle est algérienne. Son terrain de jeux favori : les maisons bombardées, les ports engloutis, les cimetières, le Far West du Hoggar, les Fantazias. Ses partenaires : une armée de gosses et toutes les bêtes sauvages.
Adolescente, elle devient française, son terrain de jeu favori : la ville, les lieux interdits, les Sex Pistols, la boxe thaï, la scène. Ses partenaires : une bande de punks, quelques singuliers, des aristos, des goths, des magiciens de tous poils, des exclus.
Aujourd'hui directrice de la compagnie Izidoria, Myriam Pellicane au grès des rencontres et des créations, cherche ce qui pourrait s'appeler aujourd'hui : la geste de la conteuse.
Goulue d'anthropologie sorcière et de mythes, performeuse de la parole, elle rassemble en scène les pratiques populaires et les rituels émergents pour bousculer les manières, pour donner à tous les publics la sensation plutôt que la compréhension.
Kung-Fu, mangas, musique trad, innovantes, improvisées, rock, hip hop, électro, voix, sons organiques, elle s'entoure de spécialistes pour pratiquer le Abracadabra, pour réinventer des formes, aller tout au fond, invoquer, approcher l'autre, dépecer les histoires mémorables pour leur donner un nouveau souffle, une nouvelle énergie
Petite, elle est algérienne. Son terrain de jeux favori : les maisons bombardées, les ports engloutis, les cimetières, le Far West du Hoggar, les Fantazias. Ses partenaires : une armée de gosses et toutes les bêtes sauvages.
Adolescente, elle devient française, son terrain de jeu favori : la ville, les lieux interdits, les Sex Pistols, la boxe thaï, la scène. Ses partenaires : une bande de punks, quelques singuliers, des aristos, des goths, des magiciens de tous poils, des exclus.
Aujourd’hui directrice de la compagnie Izidoria, Myriam Pellicane au grès des rencontres et des créations, cherche ce qui pourrait s’appeler aujourd’hui : la geste de la conteuse.
Goulue d’anthropologie sorcière et de mythes, performeuse de la parole, elle rassemble en scène les pratiques populaires et les rituels émergents pour bousculer les manières, pour donner à tous les publics la sensation plutôt que la compréhension.
Kung-Fu, mangas, musique trad, innovantes, improvisées, rock, hip hop, électro, voix, sons organiques, elle s’entoure de spécialistes pour pratiquer le Abracadabra, pour réinventer des formes, aller tout au fond, invoquer, approcher l’autre, dépecer les histoires mémorables pour leur donner un nouveau souffle, une nouvelle énergie