*** IMPORTANT *** Cette saison les billets pour assister en personne aux Dimanches du conte au Jockey ne seront en vente que sur ATUVU.CA (5$) ainsi qu’à la porte (10$) le soir du spectacle. Puis tous les mardi seront mis en vente sur la billetterie Lepointdevente.com (5$) et sur notre site web (5$) le lien web permettant de voir la captation vidéo du spectacle présenté le dimanche d’avant *** IMPORTANT***
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Si tout se passe bien ce soir, si chaque artiste, chaque récit, chaque concept fonctionne parfaitement, c’est peut-être que nous n’aurons pas été assez audacieux.
Soirée résolument conceptuel, Conte + Forme propose des explorations sur le détournement des conventions d’une performance de conteur.euse. Ici, rien n’est sacré. Les conteur.euse.s posent un regard critique, politique et esthétique, sur ce geste, que nous avons peut-être trop pris pour acquis, celui de raconter.
6 à 8 performances/conteur.euse.s et artistes d’autres disciplines/débats sur le perron/diffusion en direct sur le web
Cet événement collectif est initié par La Quadrature.
La Quadrature
Cet événement collectif est initié par La Quadrature, le tout premier organisme de recherche, de création et de production en conte contemporain. La Quadrature sonde les futurs possibles du conte et, pour cela, crée et produit des œuvres qui déjouent les attentes conventionnelles à l’égard de cet art de la parole. Ses projets sont à géométrie variable et s’appuient sur la porosité des pratiques disciplinaires. La rencontre entre une diversité d'artistes pour penser ces nouvelles formes y est essentiel pour ouvrir des brèches aux conteur.euse.s de demain.
Isabelle St-Pierre
Fait entendre sa voix depuis 20 ans (poésie, slam, conte) au Québec, au Canada, en Acadie et en France. Artiste engagée, elle dirige et anime depuis 2005, de nombreux spectacles, micro ouverts, ateliers : Festival de conte de Bouche à Oreille (2005-2007), Festival Interculturel du conte du Québec (2005-2019). Elle dirige pendant 6 ans le volet conte/slam de l’État d'Urgence (ATSA) de 2005 à 2010, invitant plus d’une vingtaine d’artistes et donnant la parole aux sans-abris. Elle a coorganisé et animé pendant 5 ans, les Slam Sessions Montréal, soirées mensuelles avec une formule artiste invité et micro ouvert. En janvier 2016, elle coproduit un événement sans précédent, Paroles Fauves : vigile poétique contre la violence faite aux femmes autochtones. En avril 2017, elle a fait une résidence au Banff Centre for Arts, dans le cadre du programme de Spoken Word. Depuis, elle et dirige et coproduit la série des Cabarets Poésie All-Star (Dimanches du conte et festival des Grandes Gueules) avec Debout : Actes de parole, a survécu à la Grande nuit de la poésie de St-Venant-de-Paquette et au festival Contabadour, a fait partie de la distribution du Cabaret des Hypothèses (FIL) dédié au croisement entre la science et la littérature.
Jenny Cartwright
Jenny Cartwright explore les thèmes de l’autodétermination et des inégalités à travers des sujets comme la gentrification, le militantisme, le travail et la pauvreté. C’est à travers ce parti pris pour les personnes mises à l’écart qu’elle tente d’allier poésie et manifestes.
En 2019, elle réalise son premier documentaire sonore, Debouttes !, récompensé en 2020 par le prix NUMIX du meilleur balado catégorie histoire. Avec ce projet, elle découvre un médium qui rappelle la littérature par son fort pouvoir évocateur: le coup de foudre est grand et la création sonore devient son médium de prédilection.
Crédit photo : David Cherniak
Jérome Bérubé
Jonathan Dubé
Homme-orchestre à l’origine de nombreuses légendes locales, Jonathan Dubé a fait partie de nombreuse formations musicales des cantons de l’Est dont Klon et Lunatikos. Originaire de Dunham, il habite et compose à partir de Ville de Lac Brome.
Nelly Daou
Nelly Onestas Daou, Cœur poète et élève du kasàlà, cette poésie orale qui prend ses racines en Afrique et qui invite à célébrer le vivant sous toutes ses formes, Accompagnante et facilitatrice d’expression de soi par la créativité par ailleurs, elle a fondé le studio d’art social mobile La Ruche d’art Yéléma en 2016.
Paul Bradley
Simone D’Ambrosio
Suivant une passion innée pour le rythme, Simone D’Ambrosio s’implique au sein de plusieurs projets comme batteur sur la scène musicale florentine, en explorant différents genres, du rock pur aux premières intégrations de synthétiseurs et séquenceurs aux propres patterns rythmiques.
À la recherche constante d’un langage musical personnel, il complète en 2008 un baccalauréat en Musique et Nouvelles Technologies au Conservatoire de musique « L. Cherubini » de Florence. En 2013, sous la direction de Robert Normandeau, il termine ses études en composition électroacoustique, dans le programme de maîtrise de l’Université de Montréal.
Sa démarche artistique se développe sur deux axes distincts, soit la recherche assidue du timbre à partir de sonorités typiquement environnementales et l’intégration de la composante spatiale au processus de composition. Beaucoup de ses projets personnels ont l'esprit d'un «groupe de rock multidisciplinaire», où différentes formes d'expression se fondent dans l'objectif commun d'un art engagé.
Impliqué activement au sein d'Audiotopie depuis 2015, il approfondit les orientations de sa démarche dans ce contexte coopératif en concevant et réalisant des projets hétérogènes , des balados aux parcours et installations sonores.
*** IMPORTANT *** Cette saison les billets pour assister en personne aux Dimanches du conte au Jockey ne seront en vente que sur ATUVU.CA (5$) ainsi qu’à la porte (10$) le soir du spectacle. Puis tous les mardi seront mis en vente sur la billetterie Lepointdevente.com (5$) et sur notre site web (5$) le lien web permettant de voir la captation vidéo du spectacle présenté le dimanche d’avant *** IMPORTANT***
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Né de la rencontre spontanée de quatre artistes de la parole sur la grève de Trois-Pistoles à l’occasion du Rendez-vous des Grandes Gueules 2019, ce band de poésie contée performative s’amuse en adoptant le concept de posture chromatique. À partir du nuancier de leurs voix singulières, Amélie Prévost, Élise Argouarc’h, Paul Bradley et Véronique Bachand, fidèles à leurs univers respectifs, mettent en dialogue leurs créations parlées. Primaires, les couleurs secondaires est un collectif qui prend le risque d’unir leurs teintes, de mêler leurs histoires, de jouer avec les formes, dans une onde contrastée et sans filtre.
Véronique Bachand
Véronique Bachand est poète, conteuse et auteure. Reconnue pour son travail comme artiste de la parole, elle a foulé de nombreuses scènes, notamment avec ses spectacles M’entends-tu? (2014-2016) et Avec le rire de ma grand-mère (2019…). À l’écrit, Véronique a publié le recueil de poèmes à quatre mains Décembre brule et Natashquan attend (2017) ainsi que plusieurs autres textes dans des revues et ouvrages collectifs. Animatrice d’ateliers dans les écoles, chargée de cours à l’université et organisatrice d’évènements de littérature orale, elle est aussi étudiante au doctorat en études et pratiques des arts
Amélie Prévost
Amélie Prévost est une artiste de la parole dont la démarche puise à parts égales dans la poésie et la performance scénique. D’abord comédienne de profession et autrice de théâtre à l’occasion, elle découvre le slam de poésie en 2010. Elle crée alors coup sur coup deux spectacles de poésie orale, dont le second, Ma langue dans ton oreille, tourne pendant quelques années, un peu partout au Québec. En 2015, elle devient championne québécoise de slam et remporte la Coupe du monde de slam-poésie, à Paris, en 2016. Depuis dix ans, elle a participé à plusieurs festivals en France, en Belgique et en Allemagne, en plus d’avoir foulé les planches d’à peu près toutes les scènes de poésie et de slam du Québec. Suite à la publication de quelques textes dans différents livres collectifs et revues littéraires, son premier recueil de poésie, Corps Flottants, illustré par le peintre Steve Poutré, a été publié aux éditions Neige-Galerie en 2018. Son plus récent spectacle, Fol Ouvrage (Torcher des paillettes), créé en collaboration avec sa collègue Queen Ka tourne au Québec et en France depuis 2018. Elle participe également au segment «combat de mots» de l’émission littéraire Plus on est de fous, plus on lit, sur les ondes de la radio de Radio-Canada depuis quelques années.
Crédit photo : Marili Clark
Élise Argouarc’h
Elise Argouarc’h transcende l’exil grâce à la création parlée depuis son immigration au Québec en 2011. Elle s’intéresse à l’interaction entre le corps et l’oralité dans la performance artistique comme voie d’actualisation identitaire. Depuis 2014, elle apparaît sur les scènes conte et slam du Bas-Saint-Laurent. En solo ou dans des collectifs, ses thèmes privilégiés sont féministes, territoriaux, migratoires et suivent le chemin d’une décolonisation intime. A l’instar de Gougaud, elle estime que les arts de la parole peuvent « faire exister les gens à qui ils parlent ». Elle offre dans divers milieux des ateliers de création de kasàlà (poésie de louange africaine) pour développer le pouvoir de dire et d’être. Elle fait actuellement un doctorat pour étudier comment les arts de la parole peuvent soutenir la résilience et l’inclusion des femmes réfugiées accueillies au Bas-Saint-Laurent.
Paul Bradley
LE LIEN DE VISIONNEMENT WEB SERA DISPONIBLE LA SEMAINE DE L’ÉVÉNEMENT SUR LePointDeVente.com. Né de la rencontre spontanée de quatre artistes de la parole sur la grève de Trois-Pistoles à l’occasion du Rendez-vous des Grandes Gueules 2019, ce band de poésie contée performative s’amuse en adoptant le concept de posture chromatique. À partir du nuancier de leurs voix singulières, Amélie Prévost, Élise Argouarc’h, Paul Bradley et Véronique Bachand, fidèles à leurs univers respectifs, mettent en dialogue leurs créations parlées. Primaires, les couleurs secondaires est un collectif qui prend le risque d’unir leurs teintes, de mêler leurs histoires, de jouer avec les formes, dans une onde contrastée et sans filtre.
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Véronique Bachand
Véronique Bachand est poète, conteuse et auteure. Reconnue pour son travail comme artiste de la parole, elle a foulé de nombreuses scènes, notamment avec ses spectacles M’entends-tu? (2014-2016) et Avec le rire de ma grand-mère (2019…). À l’écrit, Véronique a publié le recueil de poèmes à quatre mains Décembre brule et Natashquan attend (2017) ainsi que plusieurs autres textes dans des revues et ouvrages collectifs. Animatrice d’ateliers dans les écoles, chargée de cours à l’université et organisatrice d’évènements de littérature orale, elle est aussi étudiante au doctorat en études et pratiques des arts
Amélie Prévost
Amélie Prévost est une artiste de la parole dont la démarche puise à parts égales dans la poésie et la performance scénique. D’abord comédienne de profession et autrice de théâtre à l’occasion, elle découvre le slam de poésie en 2010. Elle crée alors coup sur coup deux spectacles de poésie orale, dont le second, Ma langue dans ton oreille, tourne pendant quelques années, un peu partout au Québec. En 2015, elle devient championne québécoise de slam et remporte la Coupe du monde de slam-poésie, à Paris, en 2016. Depuis dix ans, elle a participé à plusieurs festivals en France, en Belgique et en Allemagne, en plus d’avoir foulé les planches d’à peu près toutes les scènes de poésie et de slam du Québec. Suite à la publication de quelques textes dans différents livres collectifs et revues littéraires, son premier recueil de poésie, Corps Flottants, illustré par le peintre Steve Poutré, a été publié aux éditions Neige-Galerie en 2018. Son plus récent spectacle, Fol Ouvrage (Torcher des paillettes), créé en collaboration avec sa collègue Queen Ka tourne au Québec et en France depuis 2018. Elle participe également au segment «combat de mots» de l’émission littéraire Plus on est de fous, plus on lit, sur les ondes de la radio de Radio-Canada depuis quelques années.
Crédit photo : Marili Clark
Paul Bradley
Avec Jérôme Bérubé, Paul Bradley, Carine Kasparian, Ariane Labonté, Nicolas Rochette et Céline Jantet.
Ariane Labonté
Carine Kasparian
Dans l’enfance, Carine a été happée par les montagnes qui se jettent dans la mer de sa Corse d’origine, par le vent fougueux qui nettoie et emporte tout et par le silence si vaste qu’il fait jaillir la parole inattendue, celle qui vient d’ailleurs. C’est peut-être pour garder mémoire de ces paysages-là, que des histoires ont émergé. Des poèmes aussi pour y inscrire la trace du vent. Et le conte, pour qu’histoire et poème deviennent êtres vivants.
Avant, Carine voulait être astronome. Après des études de mathématiques et de physique, elle a choisi une voie plus directe pour toucher les étoiles. Ne plus observer les atomes de loin, mais devenir elle-même électron libre. Depuis que le vent s’est infiltré dans ses cheveux, elle a grand mal à se coiffer. Ce qui l’amène à porter plusieurs chapeaux : Auteure, conteuse et sémiologue, elle puise ses histoires dans des récits vieux comme le monde ou de son imaginaire insolite. Des histoires qu’elle a fait voyager sur plusieurs continents. Sa dernière publication est parue chez Planète Rebelle dans le collectif « Conteurs, Nouvelle Vague ». Il lui arrive aussi d’accompagner des artistes dans leur processus créatif. Entrepreneuse dans l’âme, elle a collaboré à la création et au développement de la Fabuleuse Nuit du conte, du Bal des ménestrels, du Balai des Conteurs et de la grande virée des Semeurs de conte avec lesquels elle marchera cette année pour la neuvième fois.
Céline Jantet
Nicolas Rochette
Paul Bradley
Christian Vézina
Julie Dirwimmer
Mathieu Arsenault
Moe Clark
Paul Bradley
Tanya Evanson
Une menterie est une des plus vieille forme du conte : un récit de vie grandement exagéré qui reste dans le domaine du possible (douteux mais possible!). Ce spectacle de conte est chapeauté par la Confrérie des menteurs du Québec
Fondée par les conteurs Éric Michaud, Francis Désilets et Marc-André Fortin, La Confrérie des Menteurs du Québec (CMQ) est un regroupement faisant la promotion de la menterie comme forme d’expression artistique. La devise de la CMQ est : artifex mendacium (forgerons de mensonges). Hormis l’organisation de concours de menterie, la CMQ a notamment pour objectif de rapporter et dénoncer les menteurs sans scrupules sévissant au Québec tout en récoltant des dons afin de dédommager une personne, un regroupement, une entreprise ou un organisme ayant été lésée par voie mensongère.
Alexandre Gauthier
Lucie Bisson
C’est par la menterie (petite histoire pour divertir) que Lucie Bisson fait son entrée dans le milieu du conte au Québec. Les prix qu’elle remporte sont le début d’une magnifique odyssée dans le monde merveilleux de la parole conteuse. Elle écrit la plupart de ses histoires tantôt insolites, tantôt frôlant la vérité et elle n’oublie jamais que toute vérité n’est pas bonne à dire… Lucie Bisson poursuit sa route sur le chemin du conte, remplie de gratitude envers ceux et celles qui ont su, par leurs encouragements et leurs précieux conseils, faire grandir ses ailes de conteuse et devenir la raconteuse qu’elle est aujourd’hui.
Paul Bradley
Le but de « Conteur du mois » est de permettre à un conteur talentueux et ayant déjà une bonne expérience de la scène de s’installer au Gainzbar un mois complet, lui donnant ainsi l’occasion de bénéficier d’une couverture médiatique conséquente et de toucher un plus vaste public. Il est à noter que le mois de mai est réservé à un nouveau conteur du mois choisi chaque année par les Productions du Diable Vert.
Donnant suite à l’incroyable succès remporté lors des dix dernières saisons par nos « conteurs du mois » Simon Gauthier, Mathieu Lippé, François Lavallée, Edwige Bage, Nadine Walsh, Les Ceuzes-Là , Dominique Breau Eric Michaud, Éric Gauthier et Richard Léveillé, nous récidivons cette année en faisant de la conteuse-organisatrice Yolaine notre « impératrice du mois ». Pour le mois de mai, Yolaine nous a programmé quatre spectacles différents produit par son organisme Les AmiEs Imaginaires. Cette année, c’est au Gainzbar qu’il faudra être pour fêter le retour du printemps.
Le futur est une tradition I : Contes transgéniques et histoires robotisées avec Jérome Bérubé, Dominic Lapointe, Yoda Lefebvre et Paul Bradley.
Les 4 et 11 mai prochains, huit artistes de la parole vous mènent, chacun à leur manière, à travers des contes cosmi-comiques, futuréalistes ou post-apocalyptiques. Quatre voix par dimanche pour vous conter des quêtes philosophiques, technologiques ou pseudo-scientifiques, jusqu’au bord du monde ou de la folie. Vous êtes invités à franchir les limites des galaxies ou la porte d’un trou noir logé entre les craques d’un divan.
Dominic Lapointe
Originaire de Québec, Dominic Lapointe vit dans le Bas Saint-Laurent depuis près de huit ans. Verbomoteur invétéré, gesticulateur intempestif, il raconte des histoires d'aussi loin qu'il se souvienne. Il les puise à toutes les sources : des conversations de balcon de sa grand-mère, des anecdotes de voyages et de soirées les plus folles les unes que les autres en passant par les répertoires de contes traditionnels. Il collecte les anecdotes, il aspire les récits, il grappille les souvenirs, le tout se mélangent pour produire d'incroyables parcours aux plus improbables détours où il sait vous emporter avec comme seul bagage un brin d'imagination.
Paul Bradley
Yoda Lefebvre
Le gars: Yoda Lefebvre est un conteur, c'est-à-dire un écrivain qui n'écrit pas, un acteur qui ne joue pas, et un metteur en scène qui ne met personne d'autre en scène que lui-même. Vraiment, quelqu'un à ne pas fréquenter...
Son principe; prétendre à la vérité en disant des choses inventées.
Sa méthode; évoquer ce qui est beau et ce qui est horrible, le sublime et le monstrueux, toutes la manne d’émotions qui nous dépassent... mais sans les pousser dans la gorge du public, de façon à ce que chacun puisse se les représenter jusqu'à la limite de ce qu'il a le goût de vivre aujourd'hui.
Pour le reste, il adore les imprévus et les impondérables; c’est chaque fois un bon stimulant…
Crédit photo : Karine DésaulniersAvec Un caprice de princesse, Les Prétendants puisent dans les racines du conte pour en faire fleurir le merveilleux. La seconde partie de leur assemblage d’histoires est une composition à deux voix possédant une structure moderne bien assise sur des bases traditionnelles. Si Les Prétendants prétendent bien à quelque chose, c’est assurément de laisser le caractère intrinsèque du conte s’exprimer, soit à travers l’intimité, la sincérité et l’imaginaire. Au final, on sent que leur échaffaudage oral n’est pas tant conçu pour toucher le ciel que pour vivre et faire vivre de beaux moments de contes
Paul Bradley
Sylvain Racine
Alain Bérubé, Le guide, 22 septembre 2010
Caroline Boiclair en entrevue avec Les Prétendants, La voix de l’est plus, 15 septembre 2010
Marc Fraser, L’Horizon, Presse coopérative des Basques, 14 août 2010
En 2018 il est publié par les Éditions Planète rebelle, dans l’ouvrage collectif Nouvelle Vague. Il devient membre de Primaires, les couleurs secondaires, un band de poésie performée l’année suivante.
L’évolution au sein de nombreuses formations, la transparence du processus et la boucle autoréférentielle caractérisent son travail. Ses performances ont été présentées à de multiples occasions dans des lieux allant du musée à la micro-brasserie.
Alain Bérubé, Le guide, 22 septembre 2010